Bien cambrées, les bêtises !
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
jeunes,
médical,
Masturbation
pénétratio,
fdanus,
fouetfesse,
conte,
Humour
Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe
... fabrication du torchon, de la tige, revendue pour les pots de fleurs et ramer les pois.
Une toute petite partie de ces tiges étaient détournées pour fesser les filles qui avaient trop joué à faire goûter leur bêtise aux garçons, ce qui les calmait pour un temps.
Les feuilles de jonc, assemblées, séchées, foulées, feutrées, coupées à bonne longueur, conditionnées ainsi par paquets de douze torchons de lune, étaient vendues soit chez les épiciers qui tenaient un petit rayon d’hygiène, soit chez l’apothicaire.
Un autre produit destiné au même usage, vient de faire son apparition : le cocon, ainsi nommé parce qu’il ressemble au cocon du Bombyx, le ver à soie, élevé en grand nombre dans une autre province de notre beau pays.
Mais la ressemblance s’arrête à l’aspect.
Ce sont en fait des sortes de bouchons, confectionnés avec une plante ligneuse, la sphaigne.
Les femmes l’utilisent en se l’introduisant dans le vagin pour en contenir les humeurs, si le temps en est venu. Pour ce faire, elles se servent de leur doigt ; si elles se trouvent dans l’obligation de procéder à l’opération pendant la messe, le dimanche matin, afin de ne pas laisser d’odeur sur les pages de leur livre d’heures, il leur est livré un truc qui remplace le doigt. Une ficelle attenante sert à se départir de l’objet pour, éventuellement, le remplacer, soit par un autre, neuf, soit par… mais c’est un autre sujet.
Pour plus d’information, si vous êtes majeur(e) : vvv ...
... /tampaksavecapplic.com
Une version bon marché est distribuée par l’épicier, mais Dominique exige que son Papounet achète cela chez l’apothicaire, on va vous expliquer pourquoi.
Voilà donc notre brave Aymard qui pousse la porte de la boutique de son ami Albert, l’apothicaire:
— Salut Albert !
— Aymard ! Salut, quel bon vent t’amène ? Tu n’es pas malade, j’espère ?
— Non, tout va bien de ce côté. Je, heu… il me faudrait…
Gling ! la porte s’ouvre à nouveau pour Madame Lamiche, la boulangère, imposante matrone souriante – ce qui est normal si l’on songe que, quand son mari est au fournil elle adore venir se faire baiser devant le four embrasé, couchée sur une peau de mouton, et quand il a fini son travail (de boulanger) et vient se coucher dans leur chambre, ils remettent ça, et ce bon Gaspard, après avoir brassé sa pâte à pleins bras, qui empoigne les belles et larges hanches de sa plantureuse épouse et recommence le même mouvement…
Elle salue tout le monde :
— Tiens Aymard comment ça va ?
— Bien, Odile et toi ?
Et Gling! Encore une, puis une autre, et la boutique est pleine de femmes.
Et mon pauvre Papounet, enfin je veux dire Aymard, de plus en plus embarrassé.
D’autant qu’Albert, le discret :
— Alors Aymard que puis-je pour toi ?
— Ben donne moi donc une fiole de tes pilules pour le mal de tête, s’il te plaît ?
— Ah bon, c’est tout ? J’ai eu l’impression que tu voulais me parler de quelque chose d’important…
— Oui, enfin, c’est pas urgent, tu sais – petit rire – ça ...