1. Des vues sur moi


    Datte: 13/05/2018, Catégories: A dormir debout, Auteur: Folle de lycra, Source: Hds

    ... le rejoindre à l’appartement. Là, ma garde robe m’attendait.., je pris aussi l’habitude de porter un large collier, je devais me faire belle pour m’offrir à lui, à eux. J’ai juste refusé de me faire parfumer car je ne voulais pas que Marie se doute de quelque chose, ni que les collègues me regardent bizarrement ; même si j’aurais bien aimé qu’il me parfume dans l’intimité. Disons qu’en général, mon corps sentait plutôt le minou de Marie. Deux fois, trois fois voire quatre fois par semaine ; je prenais mon travail avec sa liqueur dans mes entrailles. Une fois déguisée, je m’allongeais sur le lit.., en général, je me mettais à quatre pattes pour lui présenter et offrir ma rondelle ; il aimait me voir avec les fesses lisses. Il déposait une noix de salive pour me lubrifier le boyau. J’aimais de plus en plus le sentir entrer puis coulisser en moi. Je serrai un peu mon sphincter pour sentir son passer sa queue bien raide. Le plus agréable, c’était quand il me caressait à travers mes douces robes longues en lycra. Quand il avait fini de me besogner, il me mettait un tampon pour que je garde sa liqueur en lui. Il disait que c’était une forme de soumission qui lui plaisait beaucoup. Ce qui me plaisait aussi c’est quand je m’asseyais sur le lit, il arrivait face à moi, je m’approchais pour lui libérer son sexe déjà très désireux de moi. Il m’a rapidement avoué ne plus se laver le sexe en semaine car c’était devenu ma mission… Je sortais son sexe et le prenais en bouche puis le ...
    ... caressais avec ma langue dans le moindre recoin. A l’entendre soupirer, je savais que j’étais efficace. Je n’aimais pas sa liqueur car trop salée ; je veillais donc à l’avaler au plus vite, histoire qu’elle ne me laisse pas d’arrière goût désagréable dans la bouche. De toute façon, le principale était que j’avale…
    
    Antoine me prenait au moins une fois par jour, souvent deux voire plus… Je le suçais trois fois, quatre fois par jour ; sans compter ses amis que je devais aussi combler. Je le pompais dans son bureau, dans mon bureau, dans les caves, dans les voitures et même dans les toilettes ; tous les endroits intimes étaient propices à me coincer et m’abuser… Dans les toilettes, il me forçait à y entrer, je devais m’asseoir pour le sucer puis il me faisait lever, il me faisait retourner, mes mains sur le mur et pantalon baissé, je lui tournais le dos ; là, je sentais son dard chercher mon entrée puis s’y glisser… Il aimait aussi m’emmener dans les bois en face du travail pour que je m’agenouille et le pompe en écoutant les oiseaux gazouiller… Il ne partait pas sans arrêt dans ma bouche, son plaisir était de me voir le sucer. Je sentais son sexe déformer mes joues, je prenais plaisir à jouer avec ma langue autour de son prépuce, mais il veillait toujours à ne pas aller trop loin pour ne pas me donner la nausée ; j’en engouffrais quand même un bon morceau… Antoine m'imposait à ce que je le regarde quand je le suçais; il trouvait que cela accentuait la soumission. Il me caressait les ...
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