1. LUNE DE MIEL AU PARADIS


    Datte: 13/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... cavalier eurent tôt fait de la désinhiber. Elle se pressait d'elle-même contre le poitrail du jeune homme, frottant ses seins contre le torse musculeux. Les bras levés, les mains accrochées à ses épaules puissantes, plus la jambe qu'il avait glissé en riant entre ses cuisses pour danser, faisaient remonter sa courte robe plus haut que raisonnable et, malgré les lumières rares, on pouvait distinguer ses fonds de culotte, heureusement assortis.
    
    Sylvio, adroitement, caressait ses flancs, ses reins, descendait ses mains baladeuses en riant beaucoup. Son sourire éclatant, ses caresses et surtout le morceau de viande qu'elle sentait grossir contre son ventre exacerbait le désir de la jeune épouse. Elle n'avait plus qu'un désir, s'allonger et laisser Sylvio prendre possession de son corps.
    
    Espiègle, elle lui déclara: « Je suis fatiguée, j'ai trop présumé de mes forces, je voudrais rentrer, tu me raccompagnes?»
    
    Elle espérait que Sylvio lui ferait faire un petit détour par sa chambre, mais il la raccompagna directement à son bungalow. Il voulait la posséder sur le lit conjugal, à côté du mari plongé dans un sommeil artificiel.
    
    Quand Sylvio l'a étendue sur le lit et qu'il s'est prosterné entre ses jambes, la pauvre Anita, soûlée de drogues, d'alcool et de caresses n'avait plus la force de lui résister. Elle se contorsionna pour faire glisser sa culotte et frissonna lorsque la langue habile creusa le sillon de sa chatte humide, tremblante de peur de réveiller son époux ...
    ... Robert qui dormait juste à côté d'elle, et du désir de sentir l'énorme colonne de chair noire la pénétrer. Longtemps, il la caressa, la lécha, la suça sur toutes les zones érogènes de son corps, descendant, remontant, de sa bouche et des mains, la retournant pour s'occuper des fesses charnues. Plusieurs orgasmes successifs ont éclatés dans son cerveau confus et, quand ses gémissements devinrent gutturaux et continus, il comprit qu'il ne devait plus tarder à couvrir cette chienne lubrique. Se déshabillant rapidement, il s'allongea entre ses cuisses ouvertes et, d'une seule poussée, fit pénétrer son arbre magique jusqu'au fond du vagin accueillant. Il resta immobile le temps de l'accoutumance. La grosseur, la longueur, la sensation de puissance de l'arbre noir n'avait rien de commun avec ce qu'elle avait connu. Elle se sentait remplie, possédée, dominée par le mâle alpha, objet de ses fantasmes. Sur elle, Sylvio roucoulait doucement, lui racontant des bêtises, qu'elle était belle, chaude, et qu'il était très amoureux. Anita, complètement perdue dans sa luxure, balançait ses hanches pour augmenter la montée du plaisir. Sylvio, lui saisissant une jambe, la leva très haut pour la niquer à grands coups de reins de plus en plus rapides, sortant presque entièrement sa queue de la petite chatte, pour la replonger avec élan jusqu'au fond de son puits d'amour. Les orgasmes se succédant sans temps mort, Anita se mit à couiner des «han» suraigus à chaque pénétration. Elle ne se souciait plus ...
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