Mon minou est nu
Datte: 19/05/2021,
Catégories:
f,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
confession,
Auteur: Lisa-Lisa, Source: Revebebe
... l’amant).
Oui, j’ai oublié de dire, Léa a un amant. Ça me fait penser que j’ai aussi oublié l’éjaculation faciale. À placer après la sodomie…
Et puis Léa s’enhardit. Elle prend le dessus en parlant à Léo :
— Tu aimes me regarder, hein ? Je vais devoir te punir petite cochonne !
Les rôles s’inversent… J’abrège : contraint par Léa, Léo suce Kevin, porte une cage de chasteté ou s’habille en jupette, enfile une petite culotte et demeure aux ordres de sa femme dont il devient le jouet. De temps en temps, Léa sodomise Léo au moyen d’un équipement adapté. Léo, encagé, est heureux. Il a le droit de se masturber toutes les quatre semaines.
Bien sûr, j’exagère. Je l’ai dit, c’est une caricature. Mais il faut lire les fantasmes racontés sur ce site ou ailleurs pour se convaincre qu’il existe dans mes raccourcis un fond de vérité. Ce n’est pas moi qui les ai écrites, ces histoires. Écoutons des hommes : « Ah, non, non, au grand jamais je n’imaginais que j’allais prendre un jour une bite dans mon cul ! » Ou alors : « Quelle énorme surprise quand je vis Damien approcher son sexe de ma bouche, mais que pouvais-je faire ? » (On se le demande !) Ou encore : « Je suis cent pour cent hétéro mais ses caresses ne me laissaient pas indifférent… »
Je ne porte pas de jugement. Ni sur les femmes, ni sur les hommes et leur sexualité. Dans mon raisonnement, il importe peu que certains aient besoin de couches-culottes, de fessées, de biberons, de tutus roses, de godes ou de cages de ...
... chasteté. Les femmes aussi, et ce n’est pas moi, avec mon imagination débridée, mes envies de fessées, mes désirs d’exhibition, mes rêves de soumission qui vais me permettre de juger. J’ai simplement cherché à illustrer le fait que l’homme se laisse bien trop vite entraîner sur la pente de ses fantasmes et ne sait pas maîtriser les sources de son plaisir. La force physique et morale qui lui permet de dominer le genre humain lui laisse sans doute penser que tout lui est permis. C’est bien le cas. Mais le pire ennemi de l’homme, c’est lui-même et, mené par son sexe, il n’est plus maître de sa sexualité, il en est l’esclave et n’est donc capable ni de constance ni de mesure.
Et les femmes ? Elles sont sans doute moins exposées à ce risque. C’est mon opinion et, bien sûr, je suis prête à en discuter. Mais le fait est là : il me serait difficile de me soumettre à un homme, à moins qu’il n’ait une parfaite conscience de cette pente douce vers laquelle il pourrait tendre à se laisser couler. Il vaudrait mieux encore qu’il l’ait remontée à l’envers (cette pente), de la soumission à l’homosexualité et qu’il ait exploré les facettes de ses désirs pour savoir ce qu’il est, ce qu’il souhaite et qu’il puisse enfin… donner au lieu de prendre ou recevoir.
Si j’étais soumise à un homme, j’aurais toujours la crainte qu’un jour ou l’autre il ne tienne plus compte de mes besoins, de mes désirs, de mes envies pour y avoir substitué les siens qu’il considérera prioritaires ; et comme l’homme ...