De l'orage dans l'air - Histoires de Sexe

De l'orage dans l'air

... dit que Wendy et Marc vont passer la nuit avec Géraldine. Effectivement, quelques minutes plus tard tout le monde est autour de la table. Géraldine revient en faisant un peu la moue :

— Je pensais avoir plus de succès. Visiblement, seul un couple semblait motivé pour m’avoir dans son lit. Tant mieux pour eux, tant pis pour les autres.

Wendy et Marc se regardent, heureux. Je partage avec Tina et Thibaud un sourire complice. La fatigue de la rando, l’heure avancée, l’envie de luxure incite tout le monde à lever le camp rapidement et chaque couple rejoint sa chambre pour se préparer à la dernière nuit à la montagne. Je me retrouve dans la chambre avec ma Sandrine. J’ai vraiment hâte de la retrouver seul à seul mais d’autre part la perspective d’une soirée à quatre avec Tina et Thibaud me redonne du courage et, quand on frappe à la porte, je suis déjà tout excité. C’est donc presque déçu que je vois Gégé entrer dans la chambre.

— Je venais m’excuser pour les mots de tout à l’heure. C’est vrai que je pensais que vous me proposeriez de venir avec vous et j’avais très envie de passer la nuit avec vous deux. D’où ma déception.

Sandrine la rassure.

— Ma Gégé, comme je te l’ai dit tout à l’heure, je suis sûre qu’on aura d’autres soirées tous les trois. Alors profite des plaisirs nouveaux. Crois-moi, pour l’avoir eu hier dans mon lit, Marc est très, très bon comme amant.
— Et puis une petite langue anglaise sur tes seins, tu ne vas dire non ?
— Vous avez sans doute ...

... raison.

Et Sandrine de conclure :

— Je te promets qu’on se reverra, de retour à Toulouse. Et qu’on se fera quelques soirées sympathiques. Vas-y vite, ils doivent t’attendre.

Elle sort de la chambre, sa jupette volant dans l’air dévoilant le haut de ses cuisses quelques fractions de seconde. Je m’approche de ma chérie.

— J’apprécie beaucoup ce genre de promesses. Tu peux en faire à toutes les filles que tu veux.
— Goujat, je ne te suffis plus ?
— Bien sûr que si, mais une fois de temps en temps, à trois c’est séduisant…

Et je l’embrasse pleinement, à peine interrompu par la porte qui s’ouvre sur nos hôtes du week-end et nos invités pour la nuit. Thibaud à peine entré :

— Oups, désolé de vous déranger. On a préféré venir dans votre chambre. Je vais vous montrer pourquoi.

Et il nous conduit vers le placard encastré dans le mur de l’autre côté de la chambre vis-à-vis du lit. Il l’ouvre, débarrasse quelques cartons qui traînent dedans. Et soudain, de la lumière apparaît par le montant disjoint d’une porte condamnée. Je comprends que la chambre de Marc est de l’autre côté. Effectivement, on voit Géraldine assez gênée qui vient d’entrer dans la pièce. On voit à peu près toute la pièce en déplaçant l’œil et on peut voir Marc et Wendy en pleine action sur le lit, nus et empalés l’un dans l’autre. Je cède ma place à regret aux filles et rejoins Thibaud sur le lit. Tina ressort du poste d’observation.

— Ça y est, c’est parti, elle les a rejoint.

Sandrine nous ...