1. De l'orage dans l'air


    Datte: 17/05/2021, Catégories: fh, fhh, 2couples, fbi, jeunes, couleurs, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral Partouze / Groupe fouetfesse, totalsexe, entrecoup, Auteur: Cyber Syr, Source: Revebebe

    ... d’être pris par l’orage. La descente se fait quasiment en courant tellement les nuages noirs s’amoncellent rapidement. Heureusement, dans les bois, nous ne craignons plus grand-chose et quand les premières gouttes apparaissent, nous sommes déjà dans la vallée, sans grand risque sous l’orage, sinon celui d’être trempé et de glisser sur un chemin large et sans danger.
    
    Par contre, ce sont huit serpillières trempées qui arrivent dans la fermette de notre week-end, mouillées jusqu’aux os sous une pluie battante. Les cheveux mouillés rendent encore plus sexy certaines d’entre nous (pour ne pas dire toutes) et certains t-shirts, masculins mais surtout féminins, laissent voir en transparence soutien-gorge ou absence de soutien-gorge fort érotique. L’électricité de l’orage et l’érotisme de la situation risquent bien de compenser la fatigue de la rando pour rendre la soirée encore très intéressante.
    
    Je suis tout proche de Géraldine dont justement le t-shirt blanc trempé laisse voir ses tétons sombres et tendus par la fraîcheur de la pluie. Je ne peux m’empêcher de lui poser les mains sur les épaules quand je la vois grelotter. Pire qu’un coup de tonnerre, on entend soudain la voix de Clément :
    
    — Et c’est reparti. Il va la tripoter devant nous, là en direct. Y en marre de cette atmosphère de luxure. Je me tire. Tu viens, Géraldine ?
    
    Et le voilà qui monte l’escalier, furieux, alors que le reste de l’assemblée se regarde, surpris de cette explosion de colère. Géraldine ...
    ... semble gênée de la réaction de son homme :
    
    — Il fait chier, toujours à gâcher quand on s’amuse.
    
    Moi, un peu penaud d’être le détonateur :
    
    — Surtout qu’il n’y avait rien de malhonnête dans ce geste.
    — Je sais bien, mais il est comme ça, intervient Gégé. Il se croit plus ouvert, plus brillant que les autres. Il est juste plus macho et plus con.
    
    Clément redescend alors les escaliers, son sac sur le dos.
    
    — Tu viens, Gégé ?
    — Non, je reste, Clément, je m’amuse bien ici, moi.
    — Si je pars tout seul, je rentre chez ma mère, je ne serai pas là demain soir pour t’ouvrir la porte, je te préviens.
    — Et bien pars chez ta mère. Bon débarras !
    
    Et le voilà qui sort sous l’orage finissant. Sa voiture démarre en crissant les pneus et l’atmosphère retombe rapidement. Inutile de dire que l’érotisme qui précédait la sortie a disparu et chacun regagne sa chambre, l’air un peu penaud.
    
    Sandrine et moi sommes vite nus, trop pressés de quitter ces habits trempés qui commencent à coller. La scène précédente fait que même ma nymphe nue ne me fait pas d’effet. Je reste l’esprit tracassé, ailleurs. Elle le sent bien et, s’approchant de moi entreprend de me rassurer. Ses massages, ses paroles («Il ne la mérite pas de toute façon » «Si c’était pas ça, ça aurait été autre chose » «C’est un lâche »…), ses baisers dans le cou commencent à me remettre en forme. De toute façon, Clément, je pouvais pas le sentir. Et Géraldine est largement trop bien pour lui…
    
    Bref, rapidement, l’orage est ...
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