Journal d'un voyeur
Datte: 17/05/2021,
Catégories:
f,
h,
ff,
fff,
fhh,
fhhh,
grp,
jeunes,
frousses,
couple,
vacances,
piscine,
sport,
essayage,
hotel,
caférestau,
école,
douche,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
vidéox,
facial,
Oral
double,
fsodo,
échange,
Partouze / Groupe
fouetfesse,
bourge,
Auteur: Yvonallan, Source: Revebebe
... toit inférieur. Je me penche, mais l’obscurité ne me permet pas de distinguer quoi que ce soit.
Sans doute un chat. Je retourne à mon couple libertin. Madame est maintenant à quatre pattes sur le canapé, sa croupe, laissée nue par la combinaison de cuir, tendue vers le visage de son homme. Il s’agrippe d’un geste doux et caressant aux cuisses de la domina, prenant soin de ne pas abîmer le cuir de la combinaison puis, de la même manière qu’il l’avait fait pour sa chatte, plonge la tête entre les deux belles fesses de son épouse.
Je vois à nouveau la bouche de la maîtresse, laissée libre par la cagoule. Elle gueule comme une damnée son envie – que dis-je ? sa volonté – de sentir la langue de ce docile esclave au fond de son cul. Mais elle a beau hurler, monsieur est déjà appliqué à prodiguer une parfaite feuille de rose, la langue plantée dans l’arrière-train de son épouse dominatrice.
—ooOoo—
Une chose que je n’ai pas remarquée, pendant toute la séance de domination de la libertine sur son mari lécheur, c’est que celui-ci n’a pas cessé de bander pendant toute la durée du cunnilingus et de la feuille de rose que sa femme lui a imposés. Or, c’est un fait important, car la maîtresse dominatrice a bien l’intention de profiter de cette érection. Elle fait s’asseoir sa victime sur le rebord du canapé puis se lève, lui faisant face, avec cette attitude autoritaire dont elle ne s’est pas départie depuis le début.
Elle a reposé la télécommande du lecteur de DVD sur la ...
... table basse et c’est maintenant du bout des lanières de cuir du martinet qu’elle caresse lentement les couilles et la bite de son mari, qu’elle entend bien utiliser comme bon lui semble. Il reste là, servile, attendant fébrilement le moment où son plaisir se transformera en douleur. Mais il n’en est rien. Elle s’agenouille à son tour en face de l’intimité de son homme, se penche vers elle et prend le gland dans sa bouche. Je connais ses talents de suceuse depuis la première orgie espionnée chez ce couple déluré.
Là, elle se contente du gland, qu’elle aspire entre ses lèvres, couvre de salive avec sa langue. Cette fois, elle saisit les deux petites couilles de son homme dans le creux de sa main et, tout en poursuivant la fellation, les serre entre ses doigts. Il a un léger mouvement de recul, provoqué par la douleur, que son épouse dompte sans coup férir.
Elle attrape des yeux son regard, le gland turgescent toujours collé entre ses deux lèvres et commence à tourner le poignet, de sorte que les deux testicules s’en trouvent maltraités, pour ne pas dire torturés. Je vois le type beugler de douleur.
Pourtant, il bande toujours aussi dur. Madame relâche un peu la pression, recrache la bite qui me semble aussi dure qu’il est possible. D’une main, elle saisit de nouveau le martinet et en assène un coup violent sur le torse de son époux. Elle se redresse maintenant. Il y a encore du bruit tout près de moi. Je cherche du regard pour voir si un autre mateur ne s’est pas invité ...