1. Journal d'un voyeur


    Datte: 17/05/2021, Catégories: f, h, ff, fff, fhh, fhhh, grp, jeunes, frousses, couple, vacances, piscine, sport, essayage, hotel, caférestau, école, douche, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, vidéox, facial, Oral double, fsodo, échange, Partouze / Groupe fouetfesse, bourge, Auteur: Yvonallan, Source: Revebebe

    ... d’un moment, elle balance le magazine au pied du lit et se relève. Elle marche comme un mannequin sur un podium, faisant rouler les deux petites pommes qui lui servent de fesses sous mes yeux avides.
    
    Elle semble impatiente. Sans doute se languit-elle de son époux, qui vient de sortir de l’hôtel d’un pas pressé, toujours vissé à son téléphone. Elle entre dans la salle de bain. Je la perds un moment de vue : les vitres des salles de bain, elles, ne laissent rien voir.
    
    Quand elle réapparaît, c’est avec un téléphone portable à l’oreille : une manie dans ce couple, dirait-on. Elle est en grande discussion et semble agitée. Ses petits nichons ballottent un peu sous l’effet de l’agitation de leur propriétaire. Ils sont toujours tendus vers l’avant, comme deux petites armes menaçantes. Ses aréoles sont rose pâle ; on devine à peine l’ombre du sein sur la peau du mannequin.
    
    La conversation terminée, ma belle Russe s’allonge à nouveau sur le lit, cette fois sans magazine. De la paume de la main, elle caresse son ventre plat. Ses cuisses sont un peu plus entrouvertes que la fois précédente, et je peux en voir un peu plus que son pubis poilu et blond. À peine plus. Mais c’est beau.
    
    La voici qui sursaute. Et qui se précipite vers la porte de la suite, toujours nue comme un ver. Elle va ouvrir ainsi dévêtue : son mari qui rentre, sans doute. Non, c’est une autre jeune femme qui est là, vêtue d’une longue fourrure. Elle la fait entrer. Les deux femmes s’embrassent sur la ...
    ... bouche puis s’enlacent longuement, l’une couverte de la tête aux pieds, l’autre nue comme au premier jour. Le spectacle s’annonce magnifique.
    
    —ooOoo—
    
    Les deux femmes restent longuement enlacées, sans bouger, se serrant de toutes leurs forces l’une contre l’autre. L’une est nue, l’autre vêtue d’un grand manteau de fourrure. Autant les cheveux de la première sont courts et blonds, autant ceux de la seconde sont longs et noirs. Physiquement, tout les oppose. Je remarque les lèvres charnues et sensuelles de la brune qui les pose à nouveau sur celles fines et presque invisibles de la jolie slave.
    
    Elles plongent leurs regards l’un dans l’autre, se tenant le visage doucement. Les deux femmes font sensiblement la même taille, même si la latine – appelons-la ainsi – porte encore des talons. Pas pour longtemps. Suivant son amie en direction du lit, la magnifique brune jette ses chaussures au loin puis, tandis que la blonde s’allonge à nouveau, elle retire sa fourrure.
    
    Elle était nue dessous. Je peux mater son corps à loisir. Tout l’inverse de la première. Sa peau est mate, ses seins sont lourds, ses hanches magnifiquement dessinées. Quand l’une est toute en finesse, l’autre n’est que volupté et courbes pleines. La blonde est donc allongée sur le lit, nue, les yeux clos. On pourrait la croire en train de dormir. Et même quand la latine s’allonge directement sur son corps, elle n’esquisse pas le moindre mouvement. Je suis là, les jumelles à la main, en train de jouer les voyeurs ...
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