1. Jeux osés au cinéma


    Datte: 17/05/2021, Catégories: 2couples, fbi, couplus, parking, cinéma, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, échange, jeu, confession, entrecoup, lieuxpubl, Auteur: Manon 2, Source: Revebebe

    ... réunies de ce couple pour mon plaisir. Sans oser m’ouvrir autant que elle ne le fait, je facilite néanmoins l’accès à mon intimité et décide d’agir comme elle, à savoir de rejoindre les doigts de Thibault pour une caresse conjuguée. Sensations tactiles immédiates : la jeune femme mouille abondamment, elle porte deux anneaux sexuels à chaque petite lèvre.
    
    Nous nous caressons ainsi de longues minutes : cette scène au milieu d’une foule qui ignore tout est absolument délicieuse. C’est moi qui aurai la première mon orgasme, liquéfiée sur le velours de mon siège, le bas-ventre secoué de spasmes intenses, l’impression d’avoir leurs dix doigts en moi, la volonté folle de m’empaler plus profondément sur eux. Marlène me rejoint dans le plaisir quelques instants plus tard ; elle se cabre sur son siège, se mordant les lèvres pour ne pas crier sa jouissance, m’arrachant à moi-même un cri étouffé, ses doigts s’étant, au moment de son plaisir, serrés violemment sur mon clitoris déjà sensibilisé par les attouchements directs et répétés d’elle-même et de son mari.
    
    Ne me demandez pas ce qu’il y a eu à l’écran comme publicité ni même quels films ont été présentés comme à venir… Je m’enquiers, discrètement et d’un regard circulaire, de notre entourage et de ce que nos voisins peuvent, ou non, voir ou soupçonner, mais tout semble ok, personne ne paraissant avoir rien remarqué.
    
    Le film lui-même commence, Arnaud revient vers mon oreille :
    
    — Dis donc, tu jouis sacrément… Sympa… Tu as ...
    ... peur, pour ton manteau ? Prends exemple sur Marlène…
    
    Avec précaution, je défais le second bouton, puis, très délicatement, le dernier : mon loden s’ouvre un peu plus, mais tant que je ne bouge pas, mes deux seins restent à l’abri de potentiels regards. La main d’Arnaud remonte immédiatement sur mon ventre et, ce faisant, il écarte le pan droit de mon vêtement, ce à quoi je ne résiste pas. Quelques secondes plus tard, il s’amuse avec mon mamelon, d’abord avec délicatesse, puis de plus en plus durement. Il se penche à nouveau :
    
    — Caresse-toi en même temps, et écarte plus tes cuisses : j’aime bien voir une femme se caresser…
    
    À l’abri relatif des regards, je m’exécute, ouvre lentement mes deux jambes et, descendant la main gauche, je me prodigue la caresse sollicitée tandis qu’il continue à me martyriser le mamelon droit puis l’autre. J’ai envie de crier tant il se montre sévère avec mes petits bourgeons, mais en même temps, là, dans cette salle, au milieu d’un public si proche mais qui ignore tout, je savoure cette cruelle épreuve. Je glisse en même temps un coup d’œil à mes deux voisins de gauche : Marlène, toujours aussi décomplexée, cuisses ouvertes en grand, se masturbe avec frénésie de la main droite tandis qu’elle masturbe la queue de Thibault qu’elle a sortie de son jean, Thibault l’accompagnant de ses propres doigts. Je savoure ce spectacle tout autant que la poursuite de mon petit supplice, me dis qu’eux peuvent oser cela, sans voisin immédiat qu’ils sont, que ...
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