Esclave à temps partiel (3)
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Jademik, Source: Hds
... et débute son rodéo lubrique. Elle donne beaucoup d’amplitude à son mouvement de croupe, son vagin avalant sans problème la queue de Manu, laquelle fait quand même plus de 18 cm de long… Pour me rendre utile, je retire mon chemisier et approche ma poitrine de sa bouche. Laquelle passe et repasse bientôt sur mes seins au rythme de son va-et-vient. En accélérant le mouvement, de délicieux petits cris ainsi que plusieurs bouffées de sécrétions intimes s’échappent de son corps en furie, indiquant que l’orgasme est proche. Manu va-t-il tenir pour ne pas décharger en elle, là est la question. En guise de réponse, il retire sa queue du fourreau qui l’enserre et jouit longuement sur le ventre de la petite, plusieurs jets de foutre atteignant sa poitrine et son cou.
- Nicolette ! Vous serez sûrement d’accord pour me débarrasser de toute cette crème avec votre bouche, me dit-elle après avoir repris son souffle !
Ben voyons… Plus délurée, tu meurs ! Décidément, rien ne me sera épargné… Elle s’assoit alors sur le fauteuil, attendant que je vienne laper et aspirer les coulures de sperme étalées un peu partout sur elle. Tout en se réservant pour elle la queue amollie et gluante de Manu…
Je laisse ensuite mon homme se rhabiller et reprendre son poste, la petite et moi étant occupées à nous rincer la bouche et nous essuyer. Karine vient alors me parler discrètement à l’oreille :
- Nicolette, vous avez vu le copilote comme il est craquant ! Je serais vous… j’irais m’occuper un ...
... peu de lui, si vous voyez ce que je veux dire…
- Ça, avec plaisir ! Il va se souvenir de moi, je vous le jure !
La perspective d’imposer à Manu de me voir me taper son copilote me réjouit. Toujours les seins nus, je m’approche de son fauteuil et commence à l’émoustiller. Je lui caresse lentement la main gauche avec un doigt que je suce ensuite de la manière la plus suggestive qui soit. Puis le porte à mes seins en lui faisant décrire langoureusement une aréole puis l’autre, sans oublier les tétons, en état d’urgence. L’homme commence à se déconcentrer car il demande à Manu de reprendre les commandes de l’avion. C’est un black couleur ébène, la quarantaine, les tempes à peine blanchies. La forme que prend sa braguette est plus que prometteuse. Je le tire par la cravate, le fais lever de son siège puis le guide jusqu’à faire descendre son visage à hauteur de ma poitrine. Il ne se fait pas prier pour la prendre à pleine bouche, avec un mélange d’habileté et de gourmandise assez émouvant, je dois dire.
Son travail de langue est tellement remarquable que je ne peux m’empêcher de porter en même temps une main entre mes cuisses… et aussi entre les siennes. Pas besoin de tâter bien longtemps pour constater qu’il bande fort au travers de son pantalon. Je m’agenouille alors devant lui pour lui rendre la pareille. En un tournemain, je fais tomber tout le bas et jaillir son beau mandrin, lequel, parcouru d’intenses spasmes, ne manque pas d’envoyer chaque fois valser dans tous les ...