De femme du monde à salope de chienne (1)
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: portois1954, Source: Xstory
... intimité que je doigtais sans retenue. Douceur et chaleur de sa mouille abondante m’incitaient à la posséder de manière forte. Trois doigts actifs dans sa chatte la faisaient gémir.
Je me mis sur le côté alors qu’elle était sur le dos, je soulevais ses jambes les posant sur les miennes. J’amenais mon gland au contact de sa vulve et la pénétrait d’un coup. Sa chatte était profonde et captura ma bite tendue comme jamais. Tout autour de ma queue je ressentais des contractions de ses chairs intimes et constatait que son utérus était gonflé, gorgé de sang comme ma bite pouvait l’être, bref elle bandait fort elle aussi. La baisant doucement et avec la volonté d’aller au plus profond de sa chatte à chaque coup de reins et sans autre caresse, je la sentais prête à jouir. Gourmande était vaginale. Je la besognais de plus en plus vite et la fit crier de plaisir. Je l’accompagnais avec des mots doux, l’incitant à aller loin dans son plaisir et ainsi je lui fis avoir deux orgasmes coup sur coup qui la rendirent haletante et abandonnée, jambes resserrées dans un besoin de faire retomber l’excitation entre son entrejambe.
Je continuais à lui caresser les seins, faisant courir mes mains sur son corps. J’aimais la sensation électrisante dont son corps entier semblait être doté. Je pris le temps de la laisser se décompresser ma queue toujours fichée dans sa chatte. Quand elle eut retrouvé un peu plus d’amplitude dans sa respiration, je me mis à lui caresser son clitoris et quasi ...
... instantanément, je reçus un petit jet de liquide tout chaud sur mes doigts alors qu’elle se pâmait à nouveau, tout son corps pris de contractions que ma queue percevait en direct, comprimée par ses parois vaginales gonflées. Gourmande était aussi clitoridienne et très expressive dans la montée de son plaisir. J’aimais ça et le lui dit tout en continuant à la baiser avec douceur. Je sentais bien qu’elle avait coulé entre ses cuisses et les bruits de succion, les « flocs flocs » perçus à chaque fois que je la pénétrais confirmaient ses belles coulées.
Il y en avait plein dans sa raie culière, et de mon majeur je m’en servis pour lui lubrifier l’anus. Bientôt mon doigt dans son cul suivait le même mouvement d’avancée de ma bite dans sa chatte. Gourmande acceptait cette double pénétration tant que rassuré sur ses capacités à aimer la sodomie, je quittais sa chatte pour positionner mon gland contre son œillet. Je n’eus pas à forcer trop pour la pénétrer, mais je le fis consciencieusement et méthodiquement. Je voulais qu’elle me prenne en entier au fond de ses reins et quand, lui soulevant une jambe, je me fichais au plus profond de son fondement j’y restai un moment lui faisant prendre conscience qu’un pieu de chair de 20 centimètres était planté dans son cul, un doux fourreau. Conscient de son acceptation et de son aptitude, je la besognais de plus en plus fort, lui arrachant des cris de plaisir qui allaient crescendo et quand elle explosa, je lui lâchais de longues giclées de foutre ...