Comment une belle plante m’a mis cul nu en cours de gym
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Bgp, Source: Hds
... son ton monocorde.
- Nadine, tu peux le relacher et le rhabiller. Tu as gagné.
La géante fléchit ses énormes jambes pour me déposer doucement. Quand mes fesses eurent atteint le sol, elle relâcha mes jambes. Je me retrouvais quasi nu par terre, exposant mes petites fesses et mon entrejambe à mes camarades qui chuchotaient.
- Tu as vu comment elle l’a soulevé !
- Il faut dire qu’il est vraiment maigre. Il ne pouvait pas faire le poids face à elle.
- Il n’a même pas de poils !
- Je n’avais vu de fesses aussi squelettiques !
- Il a un pénis ou un clito ?
Entravé par mon slip et mon short sur mes genoux, je rampais aux pieds de l’amazone comme un ver sur le sol et n’arrivais pas à me relever pour me rhabiller. Nadine, voulant bien faire, se baissa et me saisit de ses mains larges et puissante sous les aisselles. Alors qu’elle voulait simplement me remettre sur les pieds, elle me souleva si haut que je ne touchais à nouveau plus le sol. A nouveau tétanisée par son mauvais dosage de sa force, elle ne savait quoi faire et me maintenait en l’air à bout de bras comme si je n’étais qu’une poupée de chiffon. Mon petit séant était à nouveau exposé à la vue de tous. Mes fines jambes battaient dans le vide sans que la géante en soit perturbée. Avec un voix frêle et mêlée de sanglot, je l’implorai.
- Pose moi s’il te plait !
La belle obéit et me posa par terre délicatement, comme une poupée de porcelaine qu’elle ne voulait pas ébrécher. Avant même que je ne ...
... m’accroupisse pour remonter mes vêtements, Nadine avait déjà saisi dans ses battoirs les côtés de mon slip et de mon short pour me rhabiller, comme le lui avait demandé le prof. Plus fébrile et nerveuse que jamais, elle remonta si rapidement mes vêtements qu’elle me décolla à nouveau du sol. Je me retrouvai soutenu uniquement par le tissus qui me rentrait dans les fesses et écrasait mes petites bourses. Je pleurais de douleur alors que la géante se retrouvait à nouveau tétanisée, soutenant toujours mon faible poids du bout de ses bras puissants, par le truchement de mon slip et de mon short. Même si je n’étais pas très lourd, mes vêtements bas de gamme cédèrent. Nadine se retrouva avec deux bouts de tissus dans les mains, pendant que je chutais lourdement à ses pieds sur mes petites fesses nues. Je levais les yeux pour regarder le visage de l’amazone plein de désarroi de m’avoir fait subir involontairement un traitement aussi humiliant. Je me relevai rapidement, saisis les côtés de mon tee-shirt pour le tendre et tenter de masquer ma nudité. Je fuis la salle sous les rires moqueurs des garçons et des filles, trottinant quasi nu.
J’allai dans le vestiaire où je pris mes affaires de rechange aussi vite que possible, et me réfugiait dans un autre vestiaire désaffecté au fond du couloir. Une fois assis en sécurité, je pris ma tête dans mes mains pour m'effondrer en larme. Mon téléphone se mit à vibrer et je recevais déjà la vidéo de la scène que mes pseudo amis se faisaient un ...