Histoires de candaulisme (4)
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
IL N'EST JAMAIS TROP TARD
Jeunes retraités de l'enseignement, Alice et Kléber avaient choisi d'occuper leur temps libre en s'activant dans une ONG spécialisée dans l'accueil des migrants. Une tache ingrate, mais qu'ils considéraient comme enrichissante. Un afflux soudain d'une population déshéritée avait contraint l'ONG à demander à ses militants d'héberger provisoirement des sans abris. Alice et Kléber s'étaient vu proposer un grand jeune homme malien qui leur plut tout de suite, en particulier à Alice. Elle avait tout de suite apprécié son sourire franc et éclatant, son corps souple finement musclé et son expression très claire, signe qu'il avait fréquenté l'école à un stade avancé. Elle préférait de loin l'héberger plutôt qu'une famille qui aurait encombré leur petit appartement doté d'une seule pièce supplémentaire, celle qu'ils attribuaient au jeune homme prénommé Mamadou.
Cette présence les obligea néanmoins à modifier quelque peu leur mode de vie. Naturistes convaincus, ils avaient l'habitude d'évoluer nus dans leur appartement. Plus question de se laisser aller même si Mamadou, il l'avait signalé, n'était pas prisonnier d'un quelconque tabou religieux. Alice se contenterait donc d'une robe d'intérieur enfilée sur son corps nu, un corps qu'elle soignait toujours pour apparaitre la plus jeune possible. De fait, on lui donnait dix ans de moins que ses soixante ans, que seuls des petits rides au visage et une coiffure de cheveux blancs coupés très court pouvaient ...
... rappeler. En revanche, son corps mince, élancé, intégralement bronzé, avec des fesses encore fermes et des seins légèrement tombants mais rebiquant vers le haut (par conviction hygiéniste, elle n'avait pour ainsi dire jamais porté de soutien-gorge, même pendant ses cours au lycée, ce qui faisait fantasmer dur ses élèves) lui attribuaient toujours un fort attrait sexuel, d'autant qu'elle aimait s'habiller court pour mettre ses jambes musclées en valeur. Elle avait toujours adoré faire l'amour, Kléber l'avait longtemps comblée par sa complicité érotique (combien de fois n'avaient-ils pas copulé dans les dunes sous l'oeil de voyeurs) mais depuis quelque temps, son mari affichait une libido en déclin et ne parvenait plus à répondre suffisamment à sa demande.
Car sa libido, à elle, marchait toujours à plein régime. Il en souffrait sans le lui dire, même si elle se gardait de tout reproche, se contentant de masturbations discrètes dans les toilettes à l'aide d'un gode qu'il lui avait offert, et qu'il tenait parfois lui-même. Toujours est-il que la présence du jeune Malien dans leurs murs ne tarda pas à inspirer le désir d'Alice, d'autant qu'elle l'avait surpris un matin, à travers la porte vitrée à demi opaque de la douche, en train de se masturber. Elle avait été frappée par sa queue en forme de parenthèse, longue et ferme avec une forte excroissance au bout, une queue faite pour donner du plaisir à une femme, un plaisir buccal, génital ou anal, avait-elle conclu, profondément ...