1. Sensualité à fleur de peau


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fh, inconnu, volupté, hsoumis, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, entreseins, facial, Oral glaçon, Auteur: Docteur No, Source: Revebebe

    ... palpe et triture. Je suis au bord d’une éjaculation mémorable quand elle glisse un doigt vers ma rosette, la titille et y pénètre une phalange. Je tiens ma queue telle une lance, et dans un cri de jouissance je lui inonde les cheveux, le front, le visage. Elle pétrit et griffe mes fesses concaves aux muscles bandés, puis saisit ma queue pour l’engloutir dans sa bouche. Elle me pompe divinement. Elle veut goûter sur sa langue les derniers jets. Je tremble sur mes jambes et me crispe de plaisir.
    
    Elle ouvre la bouche, cette bouche remplie de ma semence blanche qu’elle avale avec délectation. Elle passe la langue sur ses doigts qui ont récolté sur son visage ce qu’elle n’a pu happer et, m’attirant, me gratifie d’un baiser torride où nos langues lubrifiées de mes sécrétions tournoient entre elles. Mon serviteur pend au-dessus de son abdomen et laisse épancher les dernières gouttes.
    
    — Léchez-moi, lapez-moi partout, s’il vous plaît…
    
    … Ce que je m’empresse de faire. Elle glousse puis se retourne sur la banquette et m’offre la vue de sa croupe et la totalité de son anatomie. Elle plaque son menton sur un coussin. Je parcours des mains tout ce corps divin, épousant le creux de ses reins, ses cuisses puis les deux lobes de son postérieur. Je me délecte, ma bouche mord délicatement ses fesses, et de la main droite je claque par de petits coups secs ses deux hémisphères… Un petit soupir d’aise m’apprend qu’elle apprécie grandement… Son grain de peau, son délicat parfum, le jeu ...
    ... subtil de sa main ont vite redonné vigueur à mon glaive.
    
    Elle écarte les cuisses hors de la banquette et, telle une cavalière couchée sur sa selle, m’offre ses orifices humides. L’espace est si large que je peux y plaquer ma main. Un majeur inquisiteur va se perdre dans les tréfonds de sa chatte, son petit trou bien dilaté semble attendre son tour.
    
    Je m’assois, mes cuisses sous les siennes, avance mon corps vers l’antre béant et la fourre d’un coup. Je ressors puis rentre quelques centimètres et alterne pénétration du gland et pénétration totale. Je la tiens fermement. Elle crie, se cambre et pousse son corps vers le mien. Ses jambes se replient vers le haut et verrouillent mon dos. Je la pistonne intensément.
    
    Après de longs et puissants va-et-vient, elle me fait comprendre d’honorer son deuxième orifice. Je m’exécute en me relevant, tenant fermement ma hampe que j’applique sur son sphincter. Il se dilate puis m’aspire tout entier. Je l’agrippe par le creux du bassin et l’attire violemment contre moi en la pistonnant. Elle se cabre en un rythme de moins en moins contrôlé jusqu’à la libération d’un cri strident. Mon sexe est serti dans ses entrailles et ce n’est que quelques longues secondes plus tard que, libérée de la jouissance, elle se relâche et s’affale. Je me dégage et observe la déesse anéantie par la sublimation, tandis que de ses deux orifices s’écoulent d’abondants filets blancs.
    
    — Merci Hervé, merci… me susurre-t-elle entre deux convulsions.
    — Vous êtes ...
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