1. La grosse surprise de Mme Stroke (10)


    Datte: 15/05/2021, Catégories: Transexuels Auteur: bgp, Source: Xstory

    Je donne un grand verre d’eau fraîche à la bûcheronne qui en avale la moitié d’un trait. Elle jette l’autre moitié sur la brassière qui devient instantanément transparente et donne l’apparence à mes seins d’une poitrine féminine bien que menue. La géante bave presque devant la vision de mes petites tétons que l’eau fraiche a dressé.
    
    — Suce moi petite pute !
    
    Je m’accroupis devant elle comme si je voulais satisfaire mes besoins. Je ne veux pas prendre le risque de me mettre à genoux et filer mes jolis bas !
    
    Je pose mes petites mains et m’appuie sur les cuisses musclées de la géante, puis commence à lécher sa bite si raide qu’elle pourrait presque s’en servir comme démonte-pneus. Sasha jette le verre qui se brise au sol, et saisit chacun de mes poignets dans ses battoires.
    
    — Je veux juste que tu me suces. Je sais que c’est dans tes capacités de petite catin de me faire jouir juste avec ta bouche.
    
    J’avale le sexe imposant de la géante jusqu’à la garde. Elle n’a pas pris la peine de le nettoyer depuis nos derniers ébats, et dans la moiteur de son entrejambe, le sperme a pris une odeur et un goût aigre qui me donne des hauts-le-coeur. Je me contrôle pour ne pas vomir. Je sais qu’elle l’a calculé, et c’est une épreuve de plus pour vérifier mes aptitudes à la carrière à laquelle elle me destine. J’empale littéralement mon visage sur ce sombre phallus d’acier, jusqu’à sentir le gland tout au fond de ma gorge, et à nouveau les abdominaux de Sasha m’écrasent le nez. Je ...
    ... commence à donner de la tête mais l’énorme et raide piston a beaucoup de mal à coulisser dans ma petite bouche, dont les lèvres sont tendues autour du cylindre. Ma stimulation n’est pas assez vigoureuse à son goût, et elle lâche mes mains pour attraper ma petite tête, puis commence à la secouer d’avant en arrière, si vite et si brutalement que je pourrais perdre l’équilibre et tomber le cul par terre si sa poigne n’était pas si ferme ! Je ne sais quoi faire de mes mains qui battent l’air à la recherche d’un point d’accroche, comme un petit oiseau tombé trop tôt du nid, devenu le jouet d’un énorme et vicieux chat noir.
    
    Autant la voix de Sasha peut être chaude, féminine et sensuelle quand elle me parle, autant elle ressemble à des feulements rauques quand elle me manipule pour se satisfaire. Je tente de respirer quand j’arrive à me synchroniser avec les moments où son gland quitte ma gorge, mais seulement quand ses mains n’écrasent pas mon petit nez, l’air n’ayant aucune place pour passer entre ma bouche et son phallus. Je suis au bord de l’asphyxie et commence à perdre connaissance quand la géante fige son mouvement. Son gland qui déforme mon oesophage décharge alors presque directement dans mon estomac, le jus abondant et épais qui caractérise la virile géante.
    
    Consciente de mon manque d’air, elle retire brutalement son phallus, en prenant bien garde de ne pas souiller la perruque qui me va si bien. Elle tient quasiment tout mon poids via mon crâne, pendant que j’aspire ...
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