1. Amiens-Paris


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fhhh, nympho, voiture, Oral pénétratio, fsodo, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... !
    
    Mon chauffeur me rassure :
    
    — Elle a lu ça dans un bouquin de cul et elle le sort à chaque fois.
    
    Mais l’art de la fellation, elle le possède depuis déjà un certain temps et sa culture livresque n’y est pour rien. Elle suce avec un air inspiré en introduisant ses doigts partout. Je sais que moi, il ne m’en faudrait pas plus. Mais les deux gars sont des pros de la conduite sportive ; on ne peut pas lutter. Le type sent bien que ça doit finir parce qu’autrement ça sera fini avant de commencer. Alors, il la bouscule sur la banquette et la pénètre sans autre forme de procès. Très finement, mon voisin au volant lui lance :
    
    — Tu patauges dans ma sauce ?
    
    Il me fait aussitôt un clin d’œil :
    
    — C’est une réplique d’un film porno, mais je sais plus lequel que ça peut être. Bittes à schleue, je crois.
    
    Je pense qu’il veut parler de Pina Bausch, mais je ne vois pas trop le rapport.
    
    Bref, la jeune fille jouissait maintenant de façon évidente et j’en avais mal aux oreilles. Un peu aussi à la verge qui ne se dégonflait pas, malgré les peurs que me causait régulièrement cette façon de conduire un véhicule pourtant confortable et relativement moderne pour l’époque. La fille, en plein orgasme, mettait ses mains sur les yeux du conducteur, lequel se retournait en permanence pour profiter au maximum de la situation. Moi, j’avais la main sur le volant et je dois dire que je comptais les kilomètres qui nous séparaient encore de Paris.
    
    — J’ai pris l’autre dérivation, ...
    ... comme ça je n’ai pas pataugé du tout ! nous signale l’ancien chauffeur.
    
    Je regrette alors de n’avoir pas été plus attentif, parce qu’à l’époque je n’avais jamais vu une sodomie d’aussi près.
    
    — Vous m’avez bien dégueulassé la banquette, bandes de queutards ! Mon père va encore être furax. Je lui dirai qu’il pleuvait et qu’il avait qu’à me payer l’hôtel s’il est pas content. Chiasse alors !
    
    La jeune femme s’exprime ainsi avec une voix chaleureuse qui montre combien la vie de famille semble importante dans son univers peu valorisant. Puis elle me tend la main :
    
    — Viviane.
    
    Je me présente à mon tour :
    
    — Samuel.
    — Putain, j’ai jamais baisé de Samuel !
    — Ah bon ?
    — Si, une fois, un Sam.
    — C’est pas pareil.
    — Non, c’est pas pareil, mais ça ressemble.
    — Ça ressemble peut-être, mais pas tellement.
    — Comment t’es monté, Samuel ?
    — Ben, par la portière.
    — Non, comment t’es monté dans le calbar, connard ?
    
    Je n’ose répondre à ce genre de question plutôt intime. C’est vrai, on ne sait jamais trop dire dans ces cas-là. Si on se vante, on passe pour un vantard, si on minimise, on passe pour un minus. Mais la curiosité l’emporte chez Viviane au point qu’elle passe la tête la première sur mon abdomen. J’ai une vue imprenable sur ce que je n’avais pu qu’observer au prix d’un méchant torticolis. Elle se débarrasse de mes ceintures, l’une de sécurité, l’autre de cuir. Elle ouvre le zip et prend l’objet avec soin. Le considère sans moquerie, ni admiration. En vraie ...