L'effet boomerang
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
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Auteur: Whipp, Source: Revebebe
Les faits se déroulent en 1999, en juin pour être plus précis. Je m’appelle Olivier, j’ai vingt-deux ans et je vis depuis maintenant deux ans avec Anne-Laure, vingt-deux ans également.
Nous nous sommes rencontrés à la fac et nous avons rapidement sympathisé pour finir dans un lit au retour d’une soirée étudiante. Anne-Laure avait déjà vécu quelques mois avec un type un peu plus âgé, et c’est naturellement elle qui m’a guidé dans nos premiers ébats. Nous sommes complices au lit et, sans être exubérante, elle ne se prive pas de porter des tenues sexy, jouant sur la transparence, ou mettant en valeur ses jolies formes. Nous prenons plaisir à varier les situations propices à passer à l’acte. Notre dernière envie s’est soldée le samedi précédent par quelques coups de queue dans la cabine d’essayage d’un grand magasin lillois. Le goût de l’interdit a toujours décuplé l’excitation chez moi, alors qu’Anne-Laure est, dans ce domaine, beaucoup plus réservée.
Nous habitons désormais ensemble à Lille, au troisième et dernier étage d’un immeuble longeant un grand boulevard.
Tout se passe pour le mieux et nous poursuivons alors nos études, alternant les périodes de révisions intensives avec les sorties entre copains au gré des invitations.
Ce soir-là, la température flirte encore avec les vingt-cinq degrés, et nous sortons en ville avec un groupe de cinq amis. La soirée démarre doucement au « Solfé » avec quelques mètres de bières, puis se poursuit au « Déspé » pour se ...
... terminer à l’« Irish ». Il est maintenant 1 h 30 et nous décidons de quitter l’établissement. Nous sommes vendredi et, malgré l’heure tardive, l’air est toujours aussi doux, il y a foule dans les rues. Essentiellement des étudiants comme nous.
J’avoue être plus qu’imbibé, alors qu’Anne-Laure a ce petit fard aux joues que je commence à bien connaître : elle est, elle aussi, bien imprégnée, mais reste malgré tout lucide. Ça m’a toujours surpris, cette capacité qu’elle a de tenir aussi bien l’alcool. Nous marchons vers l’appart, je passe ma main autour de sa taille et la complimente sur sa tenue que j’apprécie particulièrement. Elle porte une robe noire très légère, à fines bretelles. Elle lui colle littéralement à la peau et met particulièrement en valeur sa silhouette que j’adore : un joli 90D, une taille fine, mais pas trop, et un joli fessier rebondi juste ce qu’il faut…
Bien sûr, à ma grande déception, elle porte un soutien-gorge assorti, car elle déteste se balader sans, même quand on est rien qu’à deux à l’appart. Certes, il est très discret, sans armature, mais il gâche à mon avis tout le potentiel de cette robe… Je l’incite régulièrement à s’en affranchir, mais j’ai continuellement droit à la même réponse : « On voit bien que c’est pas toi qui supportes le poids des seins à longueur de journée et le mal de dos qui va avec ! »
Cette robe a donc tout pour me plaire, et je commence doucement à envisager la suite de la soirée chez nous, prenant plaisir à la déshabiller ...