1. J'ai des fantasmes particuliers (1)


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jexus, Source: Xstory

    ... gros, plus long, plus « réel »
    
    Puis un jour, j’ai franchi un palier. Curieux de ce que j’avais pu voir sur les photos et à la recherche de « vraies » sensations, un jour où j’étais tout seul au domicile familial, je me suis mis à fouiller la chambre parentale, à la recherche de godes, photos, lingeries et toute autre chose que j’avais pu voir discrètement. Et je découvris ce que je cherchais : une valise discrètement cachée au fond de l’armoire, contenant divers ustensiles de plaisir, et j’en reconnus plusieurs, dont un gode XL, un double gode et un gode ceinture. Je suis resté immobile quelques secondes, ou peut-être une bonne minute, incapable d’en croire mes yeux. Tout ce que j’avais pu voir sur de simples pixels, je l’avais devant moi. Ce qui n’était que « virtuel » venait de prendre un tout autre aspect, un aspect plus vrai. C’était donc réel. Le corps tout tremblant d’adrénaline, je pris le premier gode que ma main réussit à attraper. C’était le gode XL. Un très gros morceau.
    
    Je ne réussissais pas à me convaincre que ma mère réussissait à le prendre, à l’insérer entre ses cuisses, ou pire, dans son cul. Inconsciemment, je n’ai pu m’empêcher de le sentir, puis de poser ma langue dessus. Ma queue devint subitement raide à la pensée qu’il y avait probablement les restes des derniers ébats de ma mère sur ce morceau de caoutchouc, et que, indirectement, je léchais la mouille de ma propre mère.
    
    Je me suis rapidement dirigé dans ma chambre avec ce nouveau jouet, ...
    ... et, armé d’une bouteille de lubrifiant que j’avais aussi récupérer dans la valise, je projetais de moi aussi me l’enfiler. La tâche allait être ardue, mais l’excitation et le lubrifiant allaient faire l’affaire. Après une ou deux minutes à réveiller ma rondelle, je l’enduis de lubrifiant, le recouvre également le gode, et je tente de m’asseoir dessus. Bordel, il était gros. Très gros. J’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois. Je n’avais jamais pris de choses aussi grosses auparavant. Je tente une nouvelle fois, et repense cette fois-ci aux photos que j’ai pu voir, et que ce gode a été (au moins) dans la chatte de ma mère. Je force un peu, et je sens subitement le gland se glisser en moi. Et à ce moment-là, je reste immobile. Une douleur se fait sentir.
    
    Je commence à douter de ce que je venais de faire, puis, respirant profondément et gardant mon calme, je sens la douleur qui s’estompe, l’excitation qui revient, et une décharge de plaisir monter. Je tente de m’asseoir un peu plus, et je sens le jouet s’enfoncer sans difficulté. Le plaisir et l’adrénaline que j’ai ressentis à ce moment ont manqué de me faire m’évanouir. Je n’oublierai jamais ce moment. J’étais là, au milieu de ma chambre, tout seul un après-midi de juin, le plus gros des godes parentaux que j’ai trouvé qui s’enfonçait petit à petit en moi. Dans mon esprit, les images s’entrechoquaient. Ma mère à quatre pattes, l’érection de mon père, la sodomie de ma mère...
    
    Je tremblais d’excitation, et commençais à me ...