1. La dame du courrier


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fh, fhh, hbi, fplusag, couplus, grosseins, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, coprolalie, hsodo, Auteur: Jean-Paul, Source: Revebebe

    ... taire les rumeurs qui allaient parfois bon train.
    
    Un matin qu’elle avait pris un RTT, elle m’appelle sur mon portable :
    
    — Mon mari vient de partir. Il m’a baisée mais j’ai encore très, très envie… Viens, je t’en supplie, je n’en peux plus, j’ai envie que tu me baises tout de suite. Si tu viens vite, je te donnerai mon petit trou.
    
    La demande était sans appel. Le temps pour moi de trouver un prétexte bidon pour m’éclipser du bureau, et je me retrouve chez elle. Elle m’accueille entièrement nue. Elle a encore du foutre gras sur les cuisses et aussi dans la touffe. Nul doute qu’elle vient de se faire baiser, et plutôt deux fois qu’une. Sans plus attendre, elle m’entraîne sur le lit conjugal et se met à quatre pattes pour me présenter son large fessier. Je la prends en levrette, vision grandiose de ses outres qui ballottent sur le lit, je vais et je viens dans le foutre de son homme, heureux que ce grand con soit cocu et que sa moustachue écarte les cuisses avec une telle facilité.
    
    Je la bourre avec grossièreté en regardant la photo de couple qui trône sur la table de nuit. Son homme est baraqué, avec de belles bacchantes, mais il est cornu. Qui plus est, il n’a plus le droit à tous les charmes de sa belle, elle lui refuse désormais son petit trou. Dans le passé, il lui arrivait fréquemment de sodomiser sa femme, mais maintenant cet antre sacré lui est interdit, quand il lui propose de passer par la petite porte, elle prétexte des problèmes hémorroïdaires pour se ...
    ... refuser à lui. Sur ma demande expresse, je suis désormais le seul qui ait ce privilège. Aussi, j’en use et j’en abuse. Ce jour-là, dès que sa jouissance éclate, je ressors de sa chatte et glisse ma queue gluante dans son cul. Son anus est accueillant, il m’engloutit sans trop de difficulté. J’adore ce moment où j’investis son fondement, où elle m’appartient totalement, cet instant où, m’enfonçant en elle, je perçois l’odeur âcre de son cul qui me prend à la gorge. Elle se donne entièrement, une fois habituée à cette présence étrangère dans son derrière, elle m’incite même à la bourrer de bon cœur. Elle se branle de concert, elle a encore besoin de jouissance, son imposante poitrine va-et-vient sur les draps froissés. Elle gémit comme une folle et moi j’ahane comme un goret.
    
    Je la limais maintenant depuis un bon moment, prenant grand soin de retarder l’instant fatidique. Elle était secouée de spasmes et elle avait cessé de se branler. Elle ne décollait plus de son oreiller, couinant comme une chienne à chaque coup de boutoir.
    
    — Humm, ma belle cochonne, tu aimes ça que je t’encule.
    — Ouiiii.
    — Ton mari ne te baise pas aussi bien, avoue ! Avoue que tu aimes que ma grosse bite te remplisse bien le cul.
    — Ouiii continue, remplie-moi bien le cul. Vas-y, j’aime ça, j’aime que tu me bourres à fond.
    — Je vais te graisser les boyaux, ma cochonne, je n’en peux plus de voir tes mamelles ballotter sous toi.
    — Humm…
    
    N’en pouvant plus, je me vidai alors dans ses entrailles puis ...
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