1. Mari trop jaloux


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fh, fhh, cocus, vacances, jalousie, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... tout à fait en érection. Elle rampe et sa bouche vient vers moi.
    
    Aucune pudeur ! Pas une once de répulsion ! Maryse m’embouche. Ma verge, grasse, humide, encore tachetée de ma semence et de celle de la femme se déploie aussitôt.
    
    Je ne comprends pas son mari. Sa femme est une perle, une amoureuse volontaire, même experte si j’en juge par la façon qu’elle a de me sucer. Qu’il soit jaloux, je peux comprendre. Mais pourquoi se priver de ce bonheur. À moins qu’avec lui, elle joue la vierge effarouchée. Mais non, elle a avoué avoir des sextoys. À moins qu’il ait une maîtresse. Et encore, merde lorsqu’on a un diamant pareil chez soi on le fait briller et on le monte.
    
    — Viens, me dit la femme qui a lâchement abandonné ma bite tendue comme un arc.
    
    Elle se lève. Quelques pas et elle m’entraîne vers la table. La table où elle s’allonge en repoussant d’une main impatiente les tasses qui nous attendaient.
    
    L’invitation ne nécessite pas une explication de texte. Les fesses au bord du plateau en pin massif, les jambes pendantes et déjà écartées, le minou me provoquent.
    
    J’entre dans la fente avec délice. Aussitôt ses jambes m’enveloppent pour m’attirer en elle. Le soupir qu’elle pousse est le plus beau des aphrodisiaques. Déjà je la baise profond. Ma bite brasse notre jus d’amour. Je vais si fort, je vais si profond que pour un peu, je m’attends à voir sortir de la grotte une écume de foutre, la chantilly des amants heureux.
    
    Maryse ne me talonne plus les fesses avec ...
    ... ses pieds. L’étalon que je suis n’a pas besoin d’encouragements. Ses jambes sont maintenant encore plus écartées. Je me saisis des chevilles, les pousse vers le plafond, les éloigne pour former un « V » ouvert qui me laisse encore un peu de marge pour gagner, un, deux, trois millimètres de plus. Mais des millimètres que la cochonne apprécie. Elle gémit. Elle parle. C’est bon, une amante qui encourage. Beaucoup, même les plus audacieuses, gardent une dernière pudeur alors qu’on les défonce. Ce n’est pas le cas de Maryse qui ne cesse de m’encourager par des « Oui, oui, encore », des « C’est bon ». Mais lorsque je l’entends me dire « prends-moi le cul », je doute de l’avoir entendu.
    
    — Oui, s’il te plaît, encule-moi.
    
    Un homme galant ne refuse pas ce plaisir surtout lorsque la demande émane d’une jeune femme BCBG. Je me retire. La salope cambre les reins pour mieux me montrer l’objet de son envie. C’est si beau que je m’agenouille pour le lécher. J’y découvre notre jus qui a coulé. Le lieu est parfait. La corolle, plis sévères, se déride pourtant lorsque ma langue y pointe. Ma salive et le foutre que je récupère aux portes de la fente bâillante forment le meilleur des lubrifiants.
    
    Elle est prête ! Je suis prêt ! Ses jambes sont en appui sur mon torse et mes épaules. Mes mains soulèvent les fesses. Mon gland semble pointer vers le petit trou. Il joue un instant entre fente et trou pour exciter la belle et bien s’enduire. Je le regarde se placer. Il semble indépendant de ...
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