1. Douceur hivernale


    Datte: 14/05/2021, Catégories: ff, fbi, jeunes, inconnu, fépilée, gymnastiqu, sport, caférestau, douche, cérébral, ffontaine, Masturbation massage, Oral confession, Auteur: Flam, Source: Revebebe

    ... l’impression que je vais jouir tout de suite de ce contact tant attendu. Tout doucement, elle joue avec mon clito. Ma langue est si dure contre la sienne. Mon corps est arqué.
    
    Elle me pénètre. Enfin… Lentement et profondément. Le va-et-vient est ample. C’est tellement bon ! Ses doigts, sa langue. Je ne vais pas tenir longtemps.
    
    Et son auriculaire qui joue avec mon anus… Il me pénètre doucement.
    
    Je gémis de plus en plus fort. Ses mouvements sont de plus en plus profonds. Non, elle n’accélère pas : toujours le même rythme. Je grogne. Je me dégage de sa bouche. Je crie, je crois. Mon corps en entier tremble. Je coule. Je me tends encore plus. Oh, putain !
    
    La chaleur prend mon ventre. Je ne parviens plus à respirer. Je feule. Je pousse un cri d’extase. Ses doigts continuent leur fabuleux manège.
    
    — Putain, putain, putain !
    
    Je propulse mon corps à la rencontre de ces doigts magiques. Je suis prise de spasmes. Je vibre. Nouvelle plainte de jouissance. Je retombe inerte dans le lit.
    
    Longtemps après, j’ouvre les yeux. Elle me fait face, nos jambes emmêlées.
    
    Quel plaisir ! Quel moment d’abandon ! Je souris. Et dire que… je ne connais pas son nom.
    
    Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce, et je devine plus que je ne vois le visage de ma barmaid. Et, bercées par les ...
    ... caresses douces et régulières, le sommeil finit par nous saisir.
    
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    Je me réveille quelques temps plus tard. J’ai soif. Je me détache de mon amour de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette seulement éclairée par la lumière du réverbère qui entre dans la chambre par la fenêtre. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. J’entends son souffle régulier. Ses cheveux bruns s’étalent sur le drap blanc.
    
    Je souris en m’écartant de la porte pour chercher la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de trouver les verres. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre.
    
    Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Ses bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce…
    
    Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle. Je murmure :
    
    — Je connais ton corps, mais je ne connais pas encore ton nom…
    
    Je la sens rire doucement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis.
    
    — Kaya, chuchote-t-elle, et toi ?
    
    Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux.
    
    — Kim, réponds-je après quelques secondes.
    
    Mes mains, au-dessus de ma tête, se perdent dans les ...
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