Sur la route de la dépravation (4) - Histoires de Sexe

Sur la route de la dépravation (4)

... aucune retenue. Ce qu’elle peut être belle et excitante quand je la vois ainsi se faire dominer.

Je regarde cet étranger étendu à plat ventre sur le plancher du salon, entre les cuisses de ma petite femme qui se dirige tout droit vers un orgasme. Elle gémit ou arrête de respirer, se déhanche comme si elle voulait se libérer de ce plaisir interdit, les mains derrière la tête, s’accrochant à l’appuie-tête, son corps devient raide, des spasmes lui traversent le corps et elle s’abandonne à un orgasme torride.

Je n’ai pas souvent vu ma femme jouir autant, et son corps sursauter à ce point. Elle continue de se déhancher sur la bouche de son prédateur, lui offrant toute la liberté de disposer de son corps comme bon lui semble et Marc a très bien compris dans quel état elle se trouve, restant collé à son sexe en continuant de la dévorer.

Denis qui était toujours dans la cuisine, à texter avec je ne sais qui, revient au salon et constate dans quel état se retrouve Nadia. Marc, apercevant Denis, se lève la tête...

— Appelle Fortin et dit lui d’emmener son gros cul sur le champ.

Je vois Denis grimacer, ce qui me donne l’idée que ce n’est peut-être pas bon signe, mais ne discute pas la demande de Marc.

Nadia relève la tête brusquement, ayant l’air de s’interroger. Marc la regarde un moment et recommence à la dévorer... A peine quelques secondes et ma femme se fait de nouveau envahir par des spasmes.

La pauvre semble déjà à bout de souffle alors que Marc redouble ...

... d’ardeur. Ma femme se tord à nouveau de jouissances, mettant ses mains sur la tête de Marc pour le repousser, mais ses efforts sont inutiles. Il la maintient toujours prisonnière entre ses bras de façon à ce que son bassin ne puisse s’échapper de son prédateur.

Je la regarde se tortiller et je n’ai pu m’empêcher de sortir mon sexe et me masturber lentement, en la regardant.

Son corps s’arc-boute, sa respiration est irrégulière et à nouveau, elle est foudroyée par un nouvel orgasme, mais cette fois-ci, Marc reste accroché à son sexe et la dévore avec une telle ardeur que Nadia reste accrochée à cet orgasme, comme s’il prolongeait ou contrôlait sa jouissance.

Elle tente de s’échapper en poussant avec ses bras, mouvements du désespoir, mais peine perdu, il continue son cunnilingus et c’est pratiquement de la torture. Nadia a des orgasmes à répétition et n’offre plus aucune résistance, soumise et sombrant dans la dépravation.

La sonnette de la porte se fait entendre et Marc relâche finalement Nadia qui demeure inerte sur le futon, complètement vidée de son énergie. Alors que je suis un moment seul avec, je m’approche pour lui demander si ça va. Elle me regarde, totalement épuisée.

— Chéri, je suis vidée. J’aimerais qu’ils partent, je n’en peux plus.

— J’aimerais bien, mais tu sais qu’ils ne m’écouteront pas, mais je vais demander à Denis s’il peut intervenir et leur demander de partir.

— S’il te plaît, mon chéri.

On les entend arriver au coin de la porte du ...