Logement provisoire : Magali (9)
Datte: 13/05/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: fantaflo, Source: Xstory
... goût est intense et épicé. Elle jouit bruyamment. Vous ne vous arrêtez pas. Sa chatte dégouline sur votre menton, dans votre cou. Toujours agenouillé, vous sortez votre bite et vous vous masturbez en dévorant le minou de votre désormais ancienne voisine. Magali gémit de plus en plus bruyamment et jouit à nouveau. Longuement, très longuement. Elle semble alors remarquer que votre chibre est à l’air et s’accroupit alors vivement pour venir s’empaler dessus.
Vous arrachez son chemisier sous lequel elle ne porte rien et pelotez ses seins sans ménagement tandis qu’elle saute avec force sur votre bite. Cela est très rapide. Une grosse minute à tout casser. Vous explosez. Magali s’affale sur vous. Elle rit :
— Quel accueil !
Quelques minutes plus tard, elle vous accompagne sur la terrasse et vous lui ouvrez une bière. Elle s’allonge à vos côtés dans la méridienne et dit :
— Je suis stressée pour demain, très stressée.
— Je n’ai pas envie de te dire ce que j’ai préparé, mais je peux te rassurer. Tu seras traitée comme une reine.
— Je sais qu’avec toi, c’est toujours le cas. N’empêche que l’inconnu m’inquiète.
Vous l’embrassez.
— Je t’ai dit que ce serait doux. Plus de contraintes.
Elle sourit.
— Comprends-moi : d’un côté, tu me demandes de venir habillée "comme une pute" et d’un autre, je dois amener toute ma tenue de mariée. Tu me dis que ce sera fini après-demain et tu m’invites à acheter tout vêtement et sous-vêtement sexy dont j’ai envie.
— Tu me ...
... fais confiance ?
— Plus qu’à n’importe qui.
— Alors, allons-y comme ça, non ?
Elle vous embrasse sur la joue et se love contre vous.
Pendant une bonne demi-heure, vous papotez de votre déménagement, de votre avenir, du travail de Magali, de ses projets. Finalement, c’est la première fois que vous parlez vraiment avec elle.
Magali regarde ensuite sa montre.
— Je ne vais pas tarder, j’ai un bon bout de transports publics pour rentrer.
Elle se lève. Vous l’accompagnez dans le hall d’entrée. Elle attache ses sandales. Quand elle se redresse, vous vous plaquez contre son dos. Vous bandez méchamment contre ses fesses. Vos mains passent sous ses bras et viennent à sa poitrine.
— Si je te ramène, tu as encore un peu de temps ?
Elle sourit.
— Un peu de temps pour quoi ?
— Pour faire l’amour peut-être.
— Je ne veux pas faire l’amour. Je veux baiser.
Vous répondez à sa provocation.
— Tu pues toujours.
— Je sais. De partout. Mais particulièrement de la chatte. Et tu adores ça.
Alors que vous la pelotez et l’embrassez, vous sentez ses mains ouvrir votre bermuda et sortir votre sexe. Elle remonte sa jupe et vous glissez en elle. Elle est trempée. Les mains contre le mur, les jambes écartées, elle vous jette un regard cochon par-dessus son épaule.
Vous la prenez durant plusieurs minutes, tout en variation. Puis soudain, vous vous retirez pour placer votre sexe contre son anus. Le gémissement de Magali vaut toute validation. Vous poussez et ...