1. La stagiaire imaginée (en partie)


    Datte: 12/05/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail fépilée, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme init, Auteur: Fripon patron, Source: Revebebe

    L’histoire, mi-vécue mi-inventée, ou plutôt arrangée, se passe dans les années 1990 quelque part en province rurale, dans un bourg de quelques milliers d’habitants. À l’époque, je suis un notable du coin (vous n’en saurez pas plus) et j’emploie deux charmantes secrétaires que j’avais connues comme copines (en tout bien tout honneur) avant devenir leur patron.
    
    Comme toute entreprise, même petite, je suis sollicité par des lycées pour accueillir des stagiaires qui sont en BAC PRO ou BTS divers…
    
    Cette année-là se présente à moi une jeune fille alors âgée de 19 ans (j’en avais moi-même 34) qui, au premier regard, m’ensorcelle. Isabelle est une petite brune absolument craquante : un peu moins d’1m60 et des proportions justes (un sublime 85 C que je découvrirai plus tard), un visage rond et rieur sous des cheveux noirs et deux yeux bleus comme je n’en avais jamais vus avant. Bien que n’étant pas à priori "client" pour accueillir un(e) stagiaire en général, là je dis oui tout de suite et signe la convention avec son établissement scolaire : deux fois trois semaines en entreprise. Mes chères secrétaires ont un sourire narquois car elles ont noté le côté enjôleur de la demoiselle et en plus connaissent mes goûts en matière de femmes : brunes, brunes et encore brunes !
    
    Arrive le premier stage durant lequel il ne se passe rien de rien, et pour cause : je la joue patron plus que distant, porte de bureau fermée quand j’y suis, pas un regard, ton sec et autres marques d’un ...
    ... manque d’autorité naturelle. Pourtant la belle fait bien des efforts au début pour me tenter, mais voyant mon indifférence forcée (elle s’en était rendue compte me dira-t-elle plus tard), elle joue ensuite la provocation en "filant rencard", comme elle le disait, à ses conquêtes à la sortie du bureau. Ainsi, tous les soirs, un jeunot venait l’attendre pour la raccompagner, et bien entendu le lendemain elle raconte sa nuit à mes secrétaires, ce qui les fait bien rire parfois.
    
    Son premier stage se termine dans une très froide ambiance entre nous, en fait je me suis rendu compte avant qu’elle ne parte à quel point j’étais… jaloux… La seule chose que j’avais notée était qu’elle ne porte que des soutiens-gorges à balconnets et des bas, parfois sans culotte manifestement, tant ses robes ou jupes sont ajustées.
    
    Le deuxième stage a lieu en mai-juin ; avec le soleil la tenue d’Isabelle le premier jour est un appel au mâle : jambes nues sous une mini-jupe noire qui ne demande qu’à voler, et surtout un débardeur sans rien dessous qui me laisse pantois : avec ou sans soutien ses seins ne bougent pas d’un millimètre, stupéfiant ! De plus ses tétons, attisés par les frottements du tissu sans doute, affolent tout mâle qui passe à portée de vue… et provoquent des sourires pleins de sous-entendus entre mes deux "sec".
    
    Je n’en reviens pas et m’isole dans mon bureau pour faire le point ; je fais quoi avec elle ???
    
    Ses sourires dès qu’elle me croise ne laissent aucun doute sur ses ...
«123»