1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Casper (1x1)


    Datte: 12/05/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... plaisirs d’être prise en levrette qu’au fantôme qui tuerait ceux où celles qui ne lui apporteraient pas son paradis.
    
    J’adore m’empaler sur la bite de mon étalon, je fais pénétrer sa verge en moi quand je sens une claque sur mon fessier.
    
    • Aie !
    
    • Je t’ai fait mal !
    
    • Tu m’as claqué la fesse, c’est la première fois que tu me fais ça !
    
    • J’ai une main le long de nos corps ma chérie et l’autre qui te caresse les seins, tu dois fantasmer et avoir cru que je te tapais les fesses, si tu en veux, tiens !
    
    Une deuxième claque avec sa main m’atteint l’autre fesse, bizarre, il est vrai que la première aurait dû être assénée par sa main sur mes seins, impossible par l’autre.
    
    Ce sera la seule chose qui pourrait me faire douter de ma certitude que notre maison et bien la résidence d’un fantôme cette nuit-là, mais je suis quelqu’un de rationnel, je crois quand je vois.
    
    Comme la veille, Julien part au travail, je repense à ce que les filles ont dit, je veux vérifier s’il y a une once de vérité dans cette histoire extraordinaire.
    
    J’enlève la couette qui est restée en place cette nuit.
    
    • Gentil Casper vient me caresser la chatte, si tu es le fantôme d’un homme en moi-même ta verge, si tu es le fantôme d’une femme, broute-moi la chatte.
    
    Évidemment, rien ne se produit.
    
    • Les filles, vous aviez tort, j’ai invité votre fantôme à me baiser, il n'est jamais venu.
    
    • J’ai été contente de te voir, j’avais peur qu’il ne vous ait tué.
    
    • Cause toujours, tu ...
    ... m’intéresses et d’abord qui est-il ?
    
    • Ce serait le fantôme de celui qui a fait construire le manoir et qui aurait fait tomber sa femme par la fenêtre avec le balcon, il croyait qu’elle l’avait trompé avec son voisin.
    
    Fantôme classique ici où en Angleterre, du mari cocu qui reste sur les lieux de son méfait attendant son salut.
    
    • Tu m’en diras tant, cette fenêtre est celle de la chambre où je dors avec Julien.
    
    La nuit suivante, je ne rêve pas quoique mes yeux soient fermés, la nuit est noire, on pensait hier au soir que l’orage allait éclater, mais il n’en est rien et la lune est cachée, nous plongeant dans le noir complet.
    
    Je dis donc que je ne rêve pas quand je sens la couette se soulever, et une caresse sur mes seins, comme si on les avait caressés avec un voile en mousseline légère, le voile passe deux trois fois dessus faisant bander mes pointes.
    
    La caresse de la mousseline s’arrête et la couette semble être replacée sur mon corps en sueur, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais.
    
    Toute la journée, j’ai traîné en peignoir, quand Julien rentre, rien n’est fait, même le repas n’est pas préparé.
    
    • Va te coucher ma chérie, cette chaleur inhabituelle en Bretagne doit te fatiguer, si l’orage éclate cette nuit, tu iras mieux demain.
    
    Je me couche dès huit heures, je dors toute la nuit, Casper ne vient pas me troubler, le tonnerre gronde sans que l’orage éclate, juste des éclaires de chaleur qui zèbre le ciel, éclairant la chambre par les petits trous des ...