1. Rambouillet 19 ans (1)


    Datte: 12/05/2021, Catégories: Trash, Auteur: emmanuellez, Source: Xstory

    ... le train.
    
    - Mais non mais non, je vais appeler un taxi.
    
    - NON ! Le téléphone marche plus depuis l’orage d’hier. Vous allez dormir dans la chambre au sous-sol. Sortez, j’va vous montrer.
    
    Je suis à la fois apeurée et excitée par sa voix et surtout son ton tyrannique. Les chiens sont toujours là à tenter de me renifler, de me lécher. J’ouvre la portière doucement et les chiens en profitent pour se jeter sur mon entrejambe.
    
    La petite jupette et ma culotte transparente n’ont pas permis de cacher l’odeur de ma cyprine. Les chiens ont été dressés pour être attirés par cette délectable fragrance. Ils sont tous deux extrêmement excités par l’odeur de ma chatte béante.
    
    Ma culotte est détrempée par tout ce que je viens de vivre. J’essaie de sortir et ai le malheur d’écarter mes jambes. Un chien s’engouffre dans la brèche et enfonce sa gueule entre mes douces cuisses. Son excitation se voit maintenant. Sa langue râpeuse s’est posée sur ma chatte et commence à me ravager le clitoris. Il donne des coups de tête, me lèche.
    
    Je crie, j’appelle au secours mais personne ne semble pressé de venir m’aider. Je ressens une profonde honte d’être traitée comme une chienne et en plus d’être vue mais l’excitation l’emporte sur la honte. J’y prends du plaisir. Le garagiste voit mon visage complètement retourné par le plaisir. Il décide d’arrêter ce trop délectable supplice.
    
    - C’est lui qui contrôle votre jouissance, pas moi... plus moi...
    
    Il attrape les deux chiens par le ...
    ... collier :
    
    - Assez joui comme ça !
    
    Cette remarque s’adresse à moi, pas aux chiens. Il me rabaisse, m’humilie en me montrant qu’il a bien vu que j’y prenais du plaisir. C’est la première fois que j’ai ce genre d’expérience : je sens le dominant dans ce mâle bourru et très moche, mais ça me procure un plaisir que je n’ai encore jamais atteint. Inconsciemment, je me soumets à ce mâle.
    
    Je peux maintenant sortir, ma chatte est liquéfiée, la culotte Eres à moitié arrachée par la langue râpeuse du chien. Je suis mon futur bourreau. Mon cerveau est en quête de ce plaisir que je viens de vivre, que je vis depuis mon arrivée dans ce garage. Mes bonnes manières et mon éducation s’enfuient petit à petit, mais de plus en plus vite.
    
    Je sais que si je suis ce monstre, je vais subir les pires outrages qu’on peut faire à une femme. Mais j’en ai envie. Je le veux. Pendant toutes ces années la putain soumise qui est en moi était endormie. Et ce lieu, ces gens sont en train de la réveiller.
    
    Le vieux se dit qu’il a une meilleure idée, avec un petit sourire vicieux.
    
    Il sent que je ne suis pas comme ces autres femelles qu’il a domptées par le passé.
    
    Il a vu avec quelle facilité il me soumettait. Il a remarqué ma culotte trempée après toutes ces péripéties. Il devine mon goût pour le sexe immoral, bestial.
    
    Depuis des années, son rêve était de trouver une bourgeoise comme moi : à la fois fine, belle, sophistiquée, hautaine, en apparence coincée du cul mais avec, à l’intérieur, le feu ...
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