Et je devins adulte (1)
Datte: 12/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: papamambo, Source: Xstory
Mon nom est Bob, pour mes 18 ans, mes parents m’avaient acheté une moto puissante qui, à l’époque, nécessitait d’avoir cet âge pour la piloter.
Mon père devant s’absenter six mois pour son travail, cela me permettrait de continuer d’aller à la fac sans dépendre de personne, et mes parents souhaitaient surtout que je sorte un peu, vu que j’étais encore très casanier, et n’avais quasiment aucun ami et donc aucune copine... Mon père plaisantait souvent qu’à mon âge, « il y avait longtemps qu’il n’était plus vierge... »
Mon père, André, était un ingénieur de 45 ans dans les barrages hydroélectriques et ma mère, Julie, restait à s’occuper de la maison et à écrire des nouvelles pour des magazines féminins ; elle avait 42 ans.
La silhouette de mon père, de 1.68 mètre pour une soixantaine de kilos plutôt fluette, contrastait avec celle de ma mère qui le dominait de quelques centimètres, vu qu’elle mesurait 1.75 mètre pour un bon 80 kilos...Un corps bien charpenté où une poitrine assez proéminente, mais, semble-t-il, ferme attirait souvent les regards...Des hanches généreuses, mais sans excès, surmontaient des jambes bien fermes et puissantes de sportive qu’elle avait été dans le passé.
Brune, cheveux courts, et regard assez dominateur, sauf avec moi, qu’elle couvait toujours de son amour maternel. Sa silhouette semblait bien plaire aux passants, et souvent, je me masturbais en l’imaginant nue dans mon lit, m’embrassant de ses lèvres pulpeuses pendant que je caressais ...
... son corps chaud et doux.
Bref, trois jours après le départ de mon père, un camion me percuta et m’envoya à l’hôpital; bilan : un fémur très légèrement fêlé seulement et le bassin déplacé...Coup de bol; mais nécessité de rester allongé avec ce que l’on appelait la pose de deux gouttières pour maintenir mes jambes et mon bassin immobiles, et ce, durant quinze jours...La catastrophe; et en plus, pas vraiment idéal de vivre couché et ne pas pouvoir aller seul aux toilettes. Bref, un vrai handicap.
Ma mère, toujours prête à aider, avait demandé que je sois hospitalisé à domicile et déclaré au médecin qu’elle s’occuperait de tout sans problèmes vu qu’elle avait été infirmière militaire durant dix ans. Un lit médicalisé fut donc installé dans le salon. Personne ne m’avait demandé mon avis, mais bon, je ne me rendais pas trop compte vu les calmants que l’on m’avait fait prendre contre la douleur ; je planais un peu.
Je n’entrerai pas dans les détails pratiques et gênants pour un post-ado à devoir dépendre de sa mère pour les gestes élémentaires de la vie...Manger et se faire laver le visage est une chose, mais il y avait plus ennuyeux !
Bien évidemment vint le moment de la toilette quotidienne indispensable...
Très gêné que j’aie été quand ma mère souleva le drap qui couvrait mon bas-ventre pour me laver le bas du corps, dont les organes sexuels, je ne savais plus où me mettre vu que je ne pouvais bouger !
Ma mère dut sentir ma gêne, car elle me lavait sans trop me ...