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Troublante histoire de train pour belle mère et ge
Datte: 12/05/2021, Catégories: Mature, Auteur: revasion, Source: xHamster
... poitrine qui paraissait d'une fermeté respectable et des fesses aux volumes callipyges. Et surtout, surtout, cette élégance d'un autre âge qui laissait espérer, sous un aspect strict et sévère, la présence cachée mais suggérée de dessous affriolants. Il se leva et décida de partir à sa recherche même si la raison en était plus la curiosité que l'inquiétude. Josette s'avança vers la vitre en marchant comme un automate programmé par les effets de la lecture du récit d'Héloïse. Elle ne s'arrêta que lorsque son visage sentit la fraîcheur du verre. Les lumières de la nuit défilaient devant ses yeux, jouant avec les ombres et les masses aux contours indéfinis. Les roulis du wagon, le fracas de la machine et la fuite des images dans la nuit la berçaient et entretenaient l'état second qui ne la quittait plus. De son côté, Rodolphe avançait dans le couloir désert du wagon, lorsqu'une apparition le fit sursauter et il revint sur ses pas en découvrant sa belle-mère collée à la vitre dans la même position que l'héroïne du recueil. Elle devait être dans un état de trouble incroyable. Alors pourquoi ne pas entrer et remplacer l'inconnu qu'elle attendait peut-être de ses voeux? Non il ne pouvait pas, c'était trop dangereux. Si elle se retournait pour protester c'était le drame. Il revint s'asseoir dans le compartiment mais son esprit était obnubilé par l'attente probable de Josette. Il se releva et y retourna. Il lui semblait que le corps de sa belle-mère bougeait, animé d'un ...
... mouvement de hanches trahissant l'état de son désir. Rodolphe commit l'irréparable en ouvrant la porte du compartiment sans que Josette ne réagisse. L'outrage consenti Elle entendit le léger bruit et son corps se raidit un instant, comme s'il s'interrogeait sur la présence d'un quelconque danger. Son esprit, lui, s'était déjà glissé entre les pages du livre. Josette n'était plus elle-même. Lorsqu'elle sentit un souffle derrière elle, ses doigts se crispèrent sur la barre horizontale de la vitre. Ce fut sa seule réaction de défense lorsque deux mains fermes la saisirent aux épaules. Elle était incapable de se retourner. Figée dans son rêve, elle n'avait pas envi de lutter comme si elle était soudain privé de toute immunité. Elle sentit la pression des mains de l'inconnu s'adoucir, mais elle n'en profita pas pour se dégager de son emprise, lui indiquant par là son consentement. La dame patronnesse était prête à subir… Encouragé par le manque de réaction de sa belle-mère, Rodolphe n'en revenait pas de l'aubaine et ses doigts s'écartèrent sur les épaules pour venir effleurer la peau fragile du coup de Josette. Tandis que ses pouces appuyaient sur le tissu du petit col, ses doigts partirent sur l'épiderme nu de la chair si délicate qu'il caressa avec délicatesse sous les mèches blondes qui s'échappaient sous la voilette du chapeau. La femme ne protesta pas lorsque les doigts vinrent défaire les boutons de nacre. Bien au contraire un soupir de consentement s'échappa de sa bouche ...