1. Histoire avec une collègue


    Datte: 11/05/2021, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, fsodo, occasion, extraconj, Auteur: Bouzi, Source: Revebebe

    ... Elle va à la rencontre de mes caresses s’empalant le cul sur mes doigts.
    
    Je me redresse derrière elle, positionne mon gland entre ses fesses. Céline place ses mains de chaque côté de ses globes et les écarte au maximum. Son anus dilaté ne résiste pas à la poussée de mon gland. Mon sexe glisse lentement en elle.
    
    — Ça va ?
    — Oui, mais vas-y doucement
    — Tu me sens dans ton cul ?
    — Pour te sentir, je te sens, c’est un peu douloureux mais tellement bon !
    
    Je commence à pistonner son trou du cul. En basculant légèrement mon torse sur l’arrière, je peux jouir du spectacle de son anus aux bords humides écartelé par mon sexe, ce dont je ne me prive pas, malgré l’inconfort de la position.
    
    Je reviens vers elle. J’accélère le rythme, limant son cul maintenant accueillant.
    
    — Je t’encule, je lime ton trou du cul, tu aimes ?
    — Mmmmm, oui, encule-moi, fourre mon petit anus, j’ai le cul plein.
    — Tu sens comme je te l’ouvre ton trou du cul, comme je te le remplis, petite salope, dis-moi que tu aimes te faire enculer.
    — Oui, encule-moi, j’aime ton sexe dans mon cul, baise mon cul, salaud.
    
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    Il me sodomise, alternant des mouvements rapides et d’autres plus lents, plus amples. Je suis comme hors de moi, gémissant et ronronnant, haletant, désormais en nage. La tête enfouie dans le matelas je murmure :
    
    — Encule-moi, encule-moi encore, mon dieu, je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Comment j’ai pu passer à côté de ça ? MmmmMMMM, encule-moi, je ...
    ... suis une saloooooppe, une salope qui aime se faire enculer…
    
    Maintenant il me pilonne carrément, je suis dans un état où je peux quasiment tout accepter. Mon corps est parcouru de spasmes, témoins d’un orgasme imminent. Son ventre vient heurter mes fesses, ses boules cognent contre mes lèvres intimes. J’aime trop ça, c’est trop bon. Je ne suis plus qu’une poupée désarticulée par le plaisir qui l’inonde. Ma jouissance devient presque irréelle. Je sens mon anneau se contracter, en cadence avec mes ondes de jouissance. François aussi doit être à bout, car je sens ses mains se crisper sur mes hanches et je ressens le jet de sa semence au fond de mes entrailles. Sa jouissance en moi engendre une vague de plaisir qui déferle en moi.
    
    Je n’avais jamais envisagé la sodomie et aujourd’hui j’ai connu la plus grande jouissance de ma vie dans mon cul. Je pense que je ne pourrai pas m’asseoir normalement tout de suite. Mais s’il me le demande, je recommence illico.
    
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    On a joui presque en même temps. J’ai mal à la bite tellement c’était bon. Il me faudra un peu de temps pour récupérer, mais la soirée n’est pas finie. Cette sodomie m’a donné encore plus faim de son corps. J’ai envie de sentir ses lèvres, sa langue sur ma queue, mais j’ai aussi envie de goûter son sexe, de lécher son petit abricot et après la prendre sauvagement.
    
    — Une douche, et après on mange un bout ?
    
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    Bien que mon corps réclame encore son sexe, j’accède à sa ...
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