1. Une jeune femme si exemplaire


    Datte: 23/01/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail amour, entreseins, Oral 69, préservati, Auteur: Chacal, Source: Revebebe

    ... sentait rassurée. Arrivés à l’hôtel, Jacques l’accompagna jusqu’à sa chambre, elle s’excusa pour avoir gâché sa soirée et pour sa conduite. Elle lui dit qu’elle ne comprenait pas ce qui lui avait pris, qu’elle ne buvait jamais habituellement. Jacques répondit que s’était de sa faute, qu’il était inexcusable d’avoir laissé seule une jeune femme aussi belle et désirable. Sandrine rougit et ne sut que répondre. Il l’embrassa sur le coin de la lèvre et lui souhaita une bonne nuit.
    
    Dès qu’elle eut refermé sa porte de chambre, Sandrine repensa aux dernières paroles de Jacques. Jusqu’alors elle croyait que Jacques la considérait uniquement comme une jeune collègue avec laquelle il aimait partager sa passion pour son métier, elle n’avait jamais pensé que Jacques puisse la voir comme une femme désirable. Cette réflexion lui provoqua comme un serrement au creux de l’estomac, puis pour la première fois, elle s’interrogea sur ce qu’elle ressentait pour lui.
    
    Elle dut admettre que depuis quelques mois, elle avait toujours envie de sa présence, elle ne se sentait vraiment bien que lorsqu’il était là. Elle comprit alors que c’était uniquement pour lui qu’elle s’était habillée sexy à l’occasion de cette soirée. C’est alors qu’elle s’aperçut, que ces quelques moments de réflexion avaient suffit pour que sa culotte soit mouillée. Elle était honteuse de sa réaction, non, ce n’était pas possible, cela ne pouvait pas lui arriver à elle qui adorait son mari, qui était jeune, beau et si ...
    ... gentil pour elle qui était comblée par la vie.
    
    Jacques était plus âgé que son propre père. Elle pensa qu’il devait s’agir d’un simple fantasme qu’elle devait vite oublier. Elle se promit de ne plus y penser et de limiter ses contacts avec Jacques à l’avenir. C’est alors que quelqu’un frappa à la porte. Sandrine ouvrit aussitôt et fut surprise de se retrouver face à Jacques. Ils se regardèrent quelques secondes sans échanger un seul mot. Elle ne lui connaissait pas ce regard. Sandrine avait les jambes comme du coton, elle fut parcourue par un frisson ; c’est alors que Jacques s’avança et posa ses lèvres sur les siennes.
    
    Sandrine ne put résister lorsqu’elle sentit sa langue investir sa bouche. Ils échangèrent un baiser fougueux qui dura longtemps. Elle sentait cette langue qui s’enroulait autour de la sienne, leur salive se mélangeait. Tout son corps réagissait, sa culotte était maintenant trempée. Jacques la poussa lentement dans la chambre, referma la porte, il la prit dans ses bras, la fit pivoter d’un quart de tour et la plaqua contre le mur. Il l’embrassait maintenant dans le cou. Sandrine gémissait. Elle le serrait contre elle, elle sentait son sexe déjà dur contre son ventre. Elle aurait voulu résister, mais c’était plus fort qu’elle.
    
    — Cela fait des mois que tu me rends fou, que j’ai envie de toi, dit Jacques.
    
    Sandrine reprit alors un peu ses esprits :
    
    — Non Jacques, il ne faut pas, je suis mariée, je ne veux pas tromper Laurent.
    — C’est trop fort, on en a ...
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