Une jeune femme si exemplaire - Histoires de Sexe

Une jeune femme si exemplaire

... faire ramoner la chatte.

Maintenant Sandrine hurlait :

— Oui j’aime ça, t’arrête pas, oui ! Oui !

Elle n’avait jamais ressenti un orgasme aussi puissant, elle avait l’impression qu’il la perforait :

— Oui viens, viens dans ma chatte mon amour.

Jacques éjacula dans son vagin de façon très abondante. Ils étaient épuisés. Lorsqu’il se retira l’air qui était à l’intérieur fit comme un bruit de pet, Sandrine fut mal à l’aise, mais Jacques lui dit gentiment que c’était normal.

— Tu m’as fait dire des cochonneries.
— Oui, mais je sais que ça t’a plu.

Ils parlèrent jusqu’au soir, Sandrine avait encore son sperme sur elle qui était en train de s’écouler, Jacques lui donna un mouchoir en papier, elle essuya ce qu’elle put.

Jacques lui raconta sa vie intime, il avait eu deux femmes. Il avoua à Sandrine qu’avec la seconde, il avait fréquenté des clubs libertins et qu’il avait ainsi épanoui sa sexualité.

Sandrine qui avait entendu parler de ce genre de pratique fut impressionnée, un peu inquiète aussi, il la rassura en lui disant qu’il ne la forcerait jamais à faire ce dont elle n’avait pas envie et qu’il ne pratiquait plus depuis qu’il était à Tours. Il l’interrogea sur sa vie, il lui posa des questions sur sa vie intime aussi, il lui demanda si elle faisait des fellations à Laurent, s’il lui faisait des minettes, les positions qu’ils pratiquaient, elle répondit mais se sentait mal à l’aise, elle avait l’impression de trahir Laurent une deuxième fois.

Avant ...

... qu’elle ne parte, alors qu’elle était en train de se rhabiller devant lui toujours nu sur le lit, il lui dit en lui montrant son sexe qui bandait à moitié :

— Tu vois, tu me fais encore de l’effet, tu ne veux pas me faire encore du bien avant de partir ?

Sandrine n’était pas certaine de comprendre, alors Jacques plus explicite en lui montrant sa queue :

— Ma puce, je ne te revois que jeudi prochain, sois gentille, taille-moi une pipe.

Sandrine qui n’en avait pas particulièrement envie, ne voulut pas se montrer trop prude. Elle s’assit au bord du lit et commença par lui lécher le gland, puis elle le prit en bouche et s’appliqua à bien le sucer. Elle commençait à être plus à l’aise dans cette pratique. Jacques toujours plus exigeant :

— S’il te plaît, lèche-moi un peu les couilles.

Sandrine s’exécuta puis elle reprit son manche en bouche. Elle accéléra le rythme, mais Jacques ne venait pas.

— Branle-moi en même temps, ça va venir, oui pompe-moi bien.

Sandrine lui branla la base de la queue pendant qu’elle continuait de le pomper. Elle se demandait comment elle devait se comporter quand il allait venir, elle n’avait jamais fait jouir un homme avec sa bouche. Jacques lui apporta la réponse :

— Je vais venir chérie, oui c’est bon, je vais venir dans ta bouche.

Sandrine reçut alors les jets de sperme dans la bouche, la première giclée atteignit le fonds de sa gorge, elle avala, le goût était un peu écœurant. Quand elle eu terminé, elle alla à la salle ...