53.1 Une présence de mec.
Datte: 11/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... remélangent, ils sont comme redistribués tels des cartes dans un nouveau jeu… un jeu sensuel… du strip poker… du bogoss poker… je crois qu’avec ces deux atouts, « le bel étalon » et « le puissant petit taureau », je tiens le jackpot…
Les deux potes sont allongés sur le lit. Deux queues bien tendues, deux paires de couilles bien pleines se présentent à moi…
Devant la plastique, la sensualité, la virilité de ces deux rugbymen, je suis dans le même état d’esprit que lorsque je rentre dans un de ces magasins de confiseries en vrac… envie de tout goûter, tout à la fois… comme on dit, avoir l’embarras du choix…
Quand tout fait autant envie, choisir, c’est renoncer…
Jérém et son torse élancé, interminable alignement de muscles parfaitement sculptés, sublime plastique de petit con à gifler et à la peau mate… ou bien… Thibault et son torse charpenté… avec cette carrure impressionnante, cette plastique si « rugbyman », si solide, si rassurante… l’un ou l’autre, le faire jouir, ce n’est pas qu’une envie… c’est une nécessité…
Si, tout comme la dernière fois, je décide de commencer par le bomécano… c’est que j’ai trop envie de retrouver notre complicité, le contact de ses mains, de ses lèvres, de sa douceur… et aussi… j’ai envie de faire attendre un peu ce petit con de Jérém… car, je le sais, le Jérém est un plat qui se déguste mieux lorsqu’il est un peu échauffé… plat à la cuisson délicate, à surveiller et à servir « à point »…
Je commence à m’occuper de cette belle ...
... queue massive de bomécano… tandis que mes lèvres et ma langue s’emploient au bonheur de son gland, mes doigts enserrent doucement la base de la belle tige, caressent ses bourses… mon autre main parcourt lentement la ligne médiane de son torse, elle explore les reliefs et les creux de sa musculature très développée, elle se frotte à ce pelage brun et doux…
Je ne sais pas décrire à quel point c’est agréable de laisser la main se perdre dans cet univers de douceur masculine… caresser un torse velu, c’est tout simplement… le pied…
En caressant la douce pilosité du bomécano, je ne peux m’empêcher de la comparer à la peau douce et rasé de Jérém dont je ne vais pas tarder à m’occuper…
C’est là que je réalise que les deux potes n’ont pas la même relation avec leurs corps… d’une part, il y en a un qui assume la délicieuse pilosité de son torse… de l’autre, il y en a un qui semble chercher, par le rasage, à faire oublier cet attribut masculin majeur…
J’aime les deux approches, expressions différentes, presque opposées, de deux virilités par ailleurs tout aussi bouillantes…
Pourtant… quelque chose me dit que les différences physiques sont parfois le reflet assez fidèle de différences tout aussi marquées dans la façon d’être…
Allongé juste à côté, Jérém se branle toujours… soucieux de ne pas le laisser complètement en reste, dans l’attente de m’occuper de son cas comme il se doit, j’allonge ma main et, tout en continuant à faire plaisir au bomécano avec ma langue et mes ...