La mère de Jean (7)
Datte: 11/05/2021,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... danseuses. Le spectacle devenait hautement érotique. Mais c’était bien ce que le couple avait désiré depuis longtemps et Hubert se félicitait de la venue des deux amies. Il ne regretterait surement pas les petits cadeaux remis gracieusement par son épouse à ces deux… femmes. Et sur la piste improvisée, les choses avançaient à pas de géants. L’ennui avec les porte-jarretelles, c’était qu’ils interdisaient la descente de la culotte sans les avoir au préalable, détachés des bas.
Et la main d’Annabelle, si elle se trouvait bien entre la dentelle et la peau, ne pouvait pas sans risque d’abimer la pièce de lingerie fine, faire coulisser vers le bas le cache-sexe et elle stoppa sa progression en musique pour s’agenouiller devant sa compagne de ronde. La femme à genoux sur la moquette épaisse, le front à hauteur du ventre de sa cavalière, elle aussi statique désormais, cherchait avec fébrilité, les attaches qui reliaient les bas à la lingerie fine. Elle prit tout son temps pour désolidariser les uns des autres. Un régal pour les deux qui roucoulaient en surveillant les manœuvres d’approche.
Les notes s’égrenaient sans plus personne pour suivre le rythme. Mais le bruit de fond restait bien agréable aux oreilles des quatre qui savouraient de bien des manières, ce moment rare et plaisant. Adèle avait maintenant la culotte à mi-cuisses et la bouche de sa vis à vis bisait doucettement la toison qui gardait le secret sur son sexe. L’autre s’affolait de voir, de humer, de sentir ...
... cette caverne si proche et pourtant encore si inaccessible. Quant à Hubert, il avait plongé quelques doigts depuis longtemps dans le tabernacle de la femme assise sur lui. Le bruit de leur passage, joyeux clapotis sympathique ne laissait planer aucun doute sur l’activité digitale du bonhomme.
Une odeur, une fragrance intime envahissait peu à peu le salon. Et la température montait insensiblement. La bouche qui salivait sur le buisson roux venait d’une langue vicieuse d’entrouvrir la conque marine aux senteurs iodées. Les soupirs sortaient de la gorge rejetée en arrière par la rousse qui ne se soustrayait nullement à la léchotte qui la tétanisait. Elle avait seulement remonté ses deux paumes bien à plat sur la nuque de la lécheuse et appuyait sur la tête, pour lui indiquer, mais était-ce nécessaire, le degré de son émoi ? Et sur le fauteuil, la croupe incendiaire sous la jupe se berçait au lent pistonnage des doigts d’Hubert.
Ne tenant plus, envahie par trop de frissons, Adèle se laissa tomber elle aussi à genoux, face à face avec sa tourmenteuse. Et une autre série de baisers provocants prolongeait le feu qui couvait en tous ces personnages, uniquement réunis pour un plaisir d’un soir. Les soupirs des unes se mêlaient à ceux des autres, entrecoupés aussi par ceux plus mâles du seul mec de la partie. Lui continuait à se rincer l’œil alors que deux corps roulaient, enlacés sur le sol. Par quel miracle, les vêtements des filles qui se reléchaient les babines, finirent-ils en ...