Jeanne la femme de mon patron.
Datte: 11/05/2021,
Catégories:
Masturbation
Mature,
Auteur: saintklausien, Source: xHamster
... rentré chez mes parents la tête ailleurs. Vivement le soir.
Je suis donc rentré, douché après le repas puis direction ma chambre pour mes devoirs. C’est avec les images de l’après-midi que je me suis mis sur mon lit et repensais au comportement de Jeanne. A cet âge on ne sait décerner le pourquoi d’un tel comportement, on fantasme beaucoup en espérant ceci ou cela…
Toujours est-il qu’à force d’y penser, je bandais délicatement dans mon pyjama. Je m’imaginais beaucoup de choses comme un gamin quoi.
Je me suis masturbé très lentement en imaginant caresser de mon gland les collants de Jeanne. L’idée me vint d’aller dans la chambre de mes parents et d’aller chipper à ma mère une boite de collants neufs.
De retour sur mon lit, la séance repris, mais aidée par les collants qui me servaient comme un gant. Une bras dans chaque jambes du collant, je me caressais le sexe d’une main et promenais très maladroitement ma main gauche sur mon torse et la poitrine.
Le contact du collant augmenta le désir, cette sensation du gant sur mes parties intimes me faisait penser aux caresses d’un partenaire, comme si cette main n’était plus mienne. Sentant le plaisir physique monter et voulant que mes pensées soient de la partie, j’ai ralenti mes caresses et pensé aux jambes gainées de collant de Jeanne, de sa jupe qu’elle a légèrement relevée devant moi et de l’entendre à quelques mètres de moi entrain d’uriner la porte légèrement fermée dans la remise.
Torse nu sur mon lit dans ...
... le noir, ma porte verrouillée, complètement nu, les jambes grandes ouvertes, je me caressais les yeux fermés. A un moment donné, ma main gauche vient frôler mon téton. Bien que n’ayant jamais été attentif à lui au paravant, mon amie non plus d’ailleurs, la sensation du lycra sur la pointe m’électrisa d’un coup. Whaou.
Je m’en étonne. Ma verge me fait mal, mais malgré cela je ne presse pas le mouvement. J’arrête de la caresser.
J’allume la lumière de chevet et regarde mon sexe tendu, décollé de mon bas ventre. Je décide de le faire se gonfler un peu plus par petites saccades. Je regarde le méat bien ouvert. Je sens la chaleur monter. Les images de Jeanne tournent dans ma tête.
J’augmente les pulsations, je sens la sève monter. Sans savoir pourquoi, je me pince légèrement la pointe du sein avec mon gant de lycra sans pour autant caresser ma verge tendue. Mes jambes se raidissent. Puis d’un seul coup la liberation. Un jet épais de ma semence chaude est éjecté du méat béant, puis un autre tout aussi crémeux et enfin un troisième jet plus timide. Houlà. Je m’étonne d’une telle abondance, jamais vu autant.
Je ne sais résister à la tentation d’y toucher puis d’y goûter, une première quant à y goûter. Bof, c’est salé.
Pendant mon éjaculation, je me suis imaginé plein de choses avec Jeanne, mais oserai-je les mettre à exécution, oserai-je les provoquer ou les subir?
Vivement samedi ou mercredi me dis-je.
Voilà, ici se termine le premier chapitre de ma première ...