Jeu de plage - Histoires de Sexe

Jeu de plage

Mon nom est Franck, j’ai 42 ans et suis de taille moyenne, sportif, avec beaucoup de charme, comme le disent ma femme et sa sœur.

Aurélie, mon rayon de soleil depuis dix ans, a 34 ans, elle est brune, yeux verts, cheveux mi-longs, 1 m 60, une taille de guêpe et elle est belle à croquer.

Ce qui frappe tout de suite chez elle c’est la beauté de ses seins. Pas très gros mais fermes et agressifs, nul besoin de soutien, avec une peau sans défaut d’une douceur infinie. Ses fesses ne sont pas mal non plus et, en les regardant, on se prend à rêver d’expédition en terre inconnue.

Ma belle-sœur, descendue de Paris, est arrivée hier pour passer quelques jours avec nous sur cette magnifique plage de la côte atlantique, près des vignobles les plus prestigieux du monde. Amoureux des belles femmes, je suis aussi amoureux de tout ce qui est beau et bon.

Marina est un peu plus jeune qu’Aurélie, elle a 30 ans, célibataire endurcie depuis un chagrin d’amour assez éprouvant, dont elle s’est parfaitement remise, je dois dire sans fausse modestie, en grande partie grâce à moi. Elle est plus jolie que sa sœur, ce qui n’est pas peu dire, cheveux longs, blonde véritable, (j’ai maintes fois pu le vérifier ces dernières semaines), 1 m 70, yeux bleus et petits seins que l’on adorerait caresser à longueur de journée. Elle fait femme-enfant et, de ce fait, attire tous les ados de la plage, ce qui la contrarie beaucoup.

Nous louons chaque année une petite villa très confortable à une ...

... dizaine de kilomètres de l’océan, dans un petit hameau d’une quinzaine de maisons. Les voisins sont charmants, et nous les invitons souvent lors de nos petites fêtes, cela évite les ennuyeux problèmes entraînés par les nuisances sonores.

Mes deux femmes sont l’objet de toutes les attentions de la part des mâles des environs, et je surprends même quelquefois de furtifs mais insistants gestes tendres et ambigus de la part de femmes, jeunes et moins jeunes.

La journée était belle, peu de nuages en ce chaud mois de juillet, nous nous hâtions pour nous rendre à la plage.

Cette plage est fréquentée assidûment par des adeptes du nudisme. On y trouve, mêlés, des gens en maillot, topless ou encore entièrement nus. Ceci sans considération de sexe ou d’âge.

Le poste de surveillance qui se trouve en haut de la dune dépassé, il nous faut marcher environ 400 m, afin de nous éloigner suffisamment de la zone de baignade, et pour nous retrouver dans un endroit où nous pouvons, sans risque de choquer qui que ce soit, nous adonner à de petites séances érotico-amoureuses.

Aurélie apprécie énormément ces instants, cela lui permet d’extérioriser ses tendances exhibitionnistes, rares chez une femme, et d’apprécier les effets que son corps déclenche dans son environnement.

Sitôt arrivée sur un emplacement bien situé, elle nous abandonne pour, dit-elle, aller méditer un peu en marchant le long de l’eau ; je pensais surtout que c’était pour sentir les regards masculins avec plus ...