1. COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (23/30)


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... as voulu dire quand tu as dit que ton gode t’avais dépucelé.
    
    - Tu reviens près de moi mon cœur, je t’ai laissé te reposer Gai-luron et ma langue t’a presque fait perdre connaissance.
    
    - C’est simple quand je suis entrée à l’hôpital après mes études d’infirmière j’étais encore vierge malgré mon âge.
    
    Rapidement j’ai fait l’erreur de le dire à une jeune collègue qui s’est empressée de le colporter dans le service.
    
    J’étais très fleur bleue dans ces années-là et amoureuse d’un jeune médecin du service.
    
    Un soir où nous étions de service au moment où tout était calme il m’a fait venir dans son bureau et je suis tombée de haut.
    
    - Tu es tombé du bureau au moment où il te pénétrait.
    
    - Nunuche, quand je dis que je suis tombée de haut c’est dans ma tête quand il m’a demandé de me déshabiller pour m’enlever mon infirmité.
    
    - Ton infirmité, c’est ce qu’il t’a dit !
    
    - Oui, tu te rends compte, avoir encore son hymen était une infirmité pour lui, je suis sortie et mes amours masculins se sont arrêtés là depuis.
    
    - C’est dommage, malgré ce qu’il m’est arrivé, les hommes ça a ses charmes.
    
    Et Cassidy ?
    
    - C’était une paumée qui était entrée dans notre service à cause d’une pneumonie attrapée dans la rue où elle vivait.
    
    Les examens ont montré qu’elle était positive et qu’elle avait peu de chances de survivre.
    
    Tu connais notre système de santé impitoyable, un jour le médecin qui m’avait humilié à considérer que Cassidy avait de nouveau assez de force pour ...
    ... retourner dans la rue.
    
    Je m’en suis offusqué devant lui.
    
    Sa seule réponse a été que si j’avais du pognon à foutre en l’air pour une junkie qui allait s’empresser de retourner se piquer dès qu’elle aurait retrouvé sa dose est qu’il me la donnait volontiers.
    
    Ça a tué définitivement tué l’envie que j’avais de lui.
    
    Je l’ai pris au mot pour mon plus grand plaisir.
    
    Nous sommes venues ici ou à force de persuasion pendant un an nous avons vécu en nous caressant seulement avec nos doigts.
    
    Au bout d’un an ou à certains moments de crise, je l’enfermais dans cette chambre où elle est devenue clean.
    
    Bien sûr pour avoir sa drogue avant que je ne la récupère, tous étaient bons pour trouver du fric, elle était passée de bras en bras, de bite en bite et avait perdu ses illusions depuis des années.
    
    Alors pour fêter notre première année de vie commune elle m’a demandé un peu d’argent et le droit de sortir.
    
    Il fallait que je fasse un geste pour voir si elle avait vraiment décroché et la laisser sortir avec de l’argent m’a semblé être la meilleure des choses.
    
    Elle est revenue toute guillerette et après un repas qu’elle a tenu à préparer, elle m’a offert Gai-luron et le soir même il me dépucelait.
    
    Je t’ai dit que nous refusions d’en acheter un autre car dans mon esprit c’était notre amant alors par sécurité à cause du virus qu’elle avait en elle, Gai-luron venait en moi un soir et le lendemain après avoir passé dans un bain aseptisant il l’honorait.
    
    Nous avons ...