1. Une vacancière beaucoup plus âgée


    Datte: 10/05/2021, Catégories: fh, fplusag, fagée, vacances, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Auteur: Pierre Ledoux, Source: Revebebe

    ... m’offrir un cocktail malgré les tarifs prohibitifs pratiqués par le cabaret. Dans un coin de la salle, un couple mûr fumait le narguilé, la femme avait l’air passablement défoncée et l’homme en profitait sournoisement pour la toucher. Un couple illégitime probablement. Nous allâmes nous asseoir pas très loin d’eux, fuyant le brouhaha de la jeunesse qui sévissait autour du bar. Maryline était très gaie, elle plaisantait, riait beaucoup, elle me proposa un autre cocktail que je tins cette fois à lui payer.
    
    La conversation s’orienta bientôt sur le couple qui sévissait à quelques pas de nous et que nous regardions discrètement d’un œil amusé. L’homme avait manifestement glissé sa main entre les cuisses de sa compagne et était en train de la caresser. Il faisait ça discrètement sous la table mais d’où nous étions, nous ne pouvions que le remarquer.
    
    — Pierre, ça vous dirait de faire pareil ? proposa soudain ma compagne.
    
    Devant mon embarras, elle éclata d’un rire franc et massif et ajouta avec malice :
    
    — Vous n’y êtes pas obligé.
    
    Je devais vraiment avoir l’air nigaud car elle rit de plus belle en sirotant son breuvage, consciente de la bonne farce qu’elle venait de me faire :
    
    — J’espère que je ne vous ai pas choqué, au moins !
    
    Elle regardait toujours le couple, mais, à vrai dire, de moins en moins discrètement :
    
    — Moi je trouve cela très excitant, finit-elle par avouer.
    
    Je me sentais pataud face à cette femme d’un certain âge, prise d’un désir soudain. Je ...
    ... posai ma main timidement sur sa cuisse, plus pour lui faire plaisir que par réel désir. Elle réagit de suite en relevant sa jupe et ma main entra en contact avec sa peau nue qui me sembla brûlante d’envie. Mon regard croisa celui d’un jeune qui nous regardait depuis le bar d’un œil amusé. Le rouge me monta alors aux joues, j’avais presque l’impression de sortir avec une grand-mère. Aussi baissai-je les yeux et exorcisai-je ma honte en plongeant plus avant entre les cuisses de Maryline qui ne demandait visiblement que ça. Sa culotte était humide, je l’écartai un peu et mes doigts entrèrent en contact avec une chatte très poilue.
    
    — Humm Pierre, continuez, c’est très bon, j’adore ça me faire toucher comme ça… avoua-t-elle en me regardant.
    
    Cette chatte humide était un mystère pour moi, qui croyais naïvement que les vieilles femmes ne mouillaient pas. Celle-ci était au contraire incroyablement trempée et appelait intensément mes caresses. Mes doigts glissèrent dans sa grotte, elle se cambra un peu plus pour que je la pénètre mieux. De son côté, l’autre couple ne chômait pas. Tout en roulant un patin à sa belle, l’homme lui frottait ardemment la moule. De temps en temps, il se retournait légèrement vers nous pour voir où nous en étions. J’avoue que tout ceci m’excita, je me sentis durcir, me rapprochai de Maryline et, tout en la masturbant, je l’embrassai alors à pleine bouche. Posant sa main sur ma bosse, elle comprit dans quel état j’étais.
    
    — Oh Pierre, je crois que nous ...