Voisin-voisine
Datte: 10/05/2021,
Catégories:
h,
fh,
hplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
Auteur: Lorent, Source: Revebebe
... fleurs et commente rapidement les qualités de chacune. Elle se penche parfois mais le col trop serré de sa robe ne me permet pas d’entrevoir quoique ce soit. Je suis excité et je constate qu’une superbe érection tend un peu mon pantalon. Elle ne semble pas remarquer cette bosse suspecte. Notre conversation dure un peu, mais hélas prend fin avec le retour des enfants de l’école, et chacun rentre chez soi.
Je regagne l’intérieur avec une furieuse envie de me masturber, elle me plait bien, finalement, la voisine. Je monte à l’étage et regarde par la fenêtre pour voir si je peux encore capter sa silhouette, elle est là dans son jardin et joue avec ses filles. Très rapidement, je me mets nu et caché derrière le fin rideau m’astique vigoureusement la queue, quelques secondes plus tard un puissant jet de sperme vient détremper le voilage. Je me précipite vers la salle de bain et reviens avec une serviette pour éponger la trace qui s’étale maintenant sur le tissu. Quelques secondes d’une intense friction et je relève la tête, stupeur le regard d’une femme immobile en robe blanche dans son jardin est tourné vers moi, qu’a-t-elle vu ?
– – –
Le lendemain matin, un « bonjour voisin » vient me surprendre dans mes travaux de jardinage, c’est elle, somptueuse dans une robe noire moulante, serrée à la taille par une ceinture rouge.
— Bonjour voisine, mais Laurent serait mieux !
— Ok, alors Stéphanie aussi.
Les présentations ainsi faites, nous bavardons un instant, passant en ...
... revue la météo et les nouvelles du village. Puis je me lance dans un nouveau compliment sur sa tenue.
— Le noir vous va aussi bien que le blanc, surtout qu’il souligne magnifiquement votre silhouette.
— Ravie de vous plaire Laurent, mon mari est tellement avare de compliments que les vôtres me vont droit au cœur.
— Juste une remarque, votre robe est tellement près du corps que l’on voit trop, à mon goût, vos sous-vêtements.
— Laurent ! Vous voilà un peu…
Et sans finir sa phrase elle me plante là. Je ne suis vraiment pas très heureux sur le coup, quel idiot je fais.
– – –
Après-midi tranquille, je bouquine dans mon salon, sonnette… Sur le pas de la porte Stéphanie, toujours dans sa robe noire, elle me regarde intensément.
— Voilà, il n’y a plus de marques.
Et elle fait demi-tour, je la regarde s’éloigner, le balancement des hanches, son petit fessier qui joue au rythme de ses pas. Je reste muet. Elle traverse la rue et rentre chez elle.
Je me réveille sur mon canapé – si seulement ! Je vais à la fenêtre et regarde la maison des voisins, sa voiture est garée devant, elle est chez elle.
Il ne me reste qu’à m’excuser. Prenant mon courage à deux mains, je me dirige vers leur porte d’entrée etding-dong. Stéphanie ouvre sa porte et me contemple longuement.
— Quel culot tu as, Laurent, de venir ici, comment pouvais-tu me parler aussi crûment ?
— Excuse-moi, c’est venu comme ça, d’un coup. Tu es tellement magnifique.
Son visage s’est empourpré, et un ...