1. OUI ou NON 2


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... somme a-t-il la possibilité de t’héberger dignement, avec le confort que tu connais ou mieux ?
    
    - Pourquoi ne viendrait-il pas vivre chez nous, si je l’aimais, puisque tu souhaites me prêter à lui de façon alternative et régulière ?
    
    - Voilà un point à étudier avant de vouloir expérimenter ton projet. En premier accepterait-il de vivre ses amours sous le même toit que moi ? Ou prévois-tu de me payer l’hôtel les nuits où vous vous aimeriez. Et surtout, supporterais-tu de devoir le partager avec d’autres femmes de ton âge, plus vieilles ou plus jeunes, sachant que le partage constitue la base de ses théories. Serais-tu prête à le voir amener chez nous, pour une ou plusieurs nuits des concurrentes avides de partager sa couche. Leurs cris d’amour te réjouiraient-ils ?
    
    - Hé ! Je comprends mieux que tu m’aies exposée, mise en vente. Tu as eu vite fait de recenser tous les obstacles qui me retiendraient près de toi. Tu as calculé froidement que je ne pourrais pas te quitter pour toutes ces raisons réunies. Ah ! Voilà pourquoi tu étais aussi magnanime. Mais quel est le rôle de l’amour dans tous ces calculs ?
    
    - Sans amour, je n’aurais fait aucun calcul. Si je n’étais pas fou de toi depuis si longtemps, je vous aurais jetés dans ce lit, je vous aurais regardés copuler, avant de vous foutre dehors tous les deux, à poil, et de demander le divorce.
    
    – Tu divorcerais ? Bonne blague. Tu dois regretter que je sois une femme fidèle. N’as-tu pas été heureux ce soir dans notre lit ? ...
    ... Tu ne ressembles pas à un homme qui souhaites divorcer.
    
    - Ah ! Bon. A quoi reconnaît-on ce type d’homme ?
    
    - Crois-tu qu’il baise sa femme comme tu viens de le faire ? Je sais au moins à quoi il ne ressemble pas. Bon, j’ai sommeil, mais je te poserais volontiers une dernière question. Voilà : supposons que, sans réfléchir ou par rage d’être aussi facilement offerte à un étranger par mon mari en ce soir d’anniversaire, je sois montée dans la Clio rouge de Marco, supposons que, selon les termes de ce marchandage, je sois restée avec lui dans un palais et que tous deux nous ayons vécu à faire l’amour nuit et jour, que serait-il arrivé au terme de ces trois jours accordés ?
    
    - Puisqu’il faut supposer, je pense que deux hypothèses méritent l’attention.
    
    Un, ou Marco est nul au lit, il a une queue trop petite ou il ne bande que difficilement, ou Marco est un éjaculateur précoce, ou c’est un maladroit ou au contraire un sadique pervers qui te fait peur : viendrais-tu me raconter que tu t’es complètement trompée et que tu me reviens en raison de ton incommensurable déception ? Non, tu es trop fière pour reconnaître une pareille erreur. Donc tu ne reviendrais pas.
    
    Deux, tu as passé trois jours et trois nuits avec un amant merveilleux, doté du plus bel outil, une queue magique qui t’a fendue, défoncée, labourée, bourrée, un engin extraordinaire qui t’a propulsé dans les étoiles pendant des accouplements nombreux et formidables, il t’a inondée de sperme, t’en a couverte des ...
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