Conflit de génération
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
caférestau,
noculotte,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
confession,
amourpass,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... la fête. Ce n’est d’ailleurs que parce que je sais qu’il va très probablement arrêter avant le point de non-retour que je me retiens, mais cela aussi, il le sait, et il accélère le mouvement… Mon orgasme monte, monte, monte…
Mais Pascal en a une fois de plus jugé autrement, je redescends sur terre bien plus vite que je n’étais montée et, surtout, complètement frustrée.
Ce serait n’importe qui d’autre, il y a belle lurette que je l’aurais laissé en plan pour aller me satisfaire moi-même un peu plus loin. Oui, mais c’est l’homme que j’aime…
Oh, mais ne serait-il pas en train de se débraguetter ? Tandis qu’il présente son sexe tendu contre mon cul, l’excitation est telle qu’un flot de cyprine gicle littéralement de mon sexe et s’écoule le long de mes jambes. S’il me prend maintenant, aucun de nous deux ne sentira quoi que ce soit…
Mais ça aussi, il faut croire qu’il l’a prévu, et c’est devant ma rosette qu’il se présente. Normalement, cela voudrait dire qu’il va me prendre, mais cela fait désormais si longtemps qu’il me fait languir en m’amenant encore et encore aux frontières du nirvana avant de m’en éloigner que je ne m’y attends plus.
Perdu ! Son sexe vient de franchir ma petite porte, j’en hurle de douleur, de joie et de surprise. Là, il me pistonne fougueusement, je crie, je crie encore, je crie d’autant plus fort qu’il a repris le massage de mon clitoris. Cette fois-ci, s’il me laisse en plan, je lui arrache les yeux…
Maintenant, plus question de ...
... m’arrêter avant le terminus, je tonne, je beugle, je braille, je mugis, je gueule, j’exulte, je vocifère, jusqu’à ce que la jouissance soit telle que j’en hurle mon bonheur à m’en faire péter les cordes vocales.
La descente est à l’image de l’ascension, longue, difficile et terriblement agréable. Par contre, une chose est absolument certaine, même s’ils n’ont rien vu, les voisins ont tout entendu, preuve en est de cette salve d’applaudissements et de hourras qui surgissent d’un peu partout.
Côté discrétion, on repassera.
La nuit est à l’image de cet orgasme, démentielle, géniale, et pourtant aussi terriblement romantique, comme en témoigne ce baiser qu’il dépose sur mes lèvres alors que je suis sur le point de m’endormir dans ses bras.
Cette fois, je le sais, plus rien ne pourra jamais nous séparer. Pour la première fois de mon existence, le puzzle est complet… Pascal, j’en suis désormais certaine, est l’homme de ma vie, et peu importe qu’il ait l’âge d’être mon père, jamais je ne remercierais assez le ciel puisqu’il ne l’est pas.
Je m’envole au pays des rêves, rêves dans lesquels Pascal n’est jamais loin. C’est merveilleux.
---ooooOoooo---
Combien de temps ai-je dormi ? Je ne saurais dire. La lumière crue du petit jour envahit la chambre, je peine à m’y habituer. Personne. Pascal est-il dans la salle de bain ? Je n’entends pourtant rien. Sur la terrasse ? La porte est fermée.
Mon attention est alors attirée sur une enveloppe sur son oreiller, et dont je ...