Un Maître asservi (4)
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: angenoir75, Source: Xstory
... la canne pour recevoir tes 50 coups du matin, augmentés des 50 de la veille si j’ai eu la flemme de le faire avant de me coucher. Tu dois me remercier avec véhémence et ne pas bouger, sinon tu en reçois 10 fois plus.
Cela te donne une idée de ta vie, faite d’obéissance, de servitude, de dévotion. Tu n’as plus rien à penser que moi et mon plaisir. Je ne veux plus entendre le son de ta voix, ce que tu penses et peux dire m’indiffère comme tu ne peux l’imaginer. Je t’ai longuement admiré pour me rendre compte à quel point tu es fake et tu vas passer le reste de ta vie à le payer. Quand tu ne sais pas quoi faire, tu es à genoux et tu attends, tu peux aussi me baiser les pieds en signe de dévotion si cela ne me dérange pas. Voilà, très bien ma chienne, c’est exactement comme cela.
Pour fêter le premier jour de ta nouvelle vie, va me prendre la badine, j’ai envie de marquer ton corps comme tu l’avais fait il y a longtemps pour moi. Tu te souviens ? Oui je suis certaine que tu te souviens... »
C’était il y a 18 mois et Isabelle a tenu tous ses engagements. Il est 3 heures du matin et je me regarde dans la glace, qui me renvoie une image que je trouve infiniment troublante. Mon corps est un mélange unique d’homme et de femme, ni homme ni femme. Mes formes sont douces, arrondies, tendres. Ma poitrine est vraiment très imposante, les auréoles bien marquées par un tatouage approprié, les tétons très turgescents à force d’être sucé, pincé et maintenant percés de deux anneaux ...
... épais et lourds que je sens en permanence. Ma taille est serrée en permanence dans un corset ou un autre, ainsi bien marquée sur des hanches qui se sont épaissies avec les hormones. Mon visage s’est bien affiné et j’ai pris l’habitude de me maquiller de façon assez marquées, faisant ressortir le côté glabre et brillant de mon crâne qui exprime, sans doute le plus, mon aspect d’esclave. Je suis bien plus grande avec mes chaussures à talon, avec lesquelles je ne fais plus qu’une, à force je ne pourrais plus marcher autrement, mes tendons s’étant raccourcis. Enfin mon entrejambe ne manque de me fasciner. Parfaitement lisse, le travail est fantastique, les cicatrices invisibles, je ressemble à ces statues asexuées, mon urètre ramenée en arrière pour être masquée et émerger à proximité directe de mon anus. Je n’ai même plus de souvenir du plaisir de bander, mais je prends quand même du plaisir par ma prostate et par l’utilisation de ma chatte qui nécessite néanmoins des diamètres hors normes pour être bien stimulée. Ma vie est réglée complètement par ma Maîtresse, je ne pense plus, je n’agis plus spontanément, je suis piloté comme une poupée. Maîtresse accueille une jeune femme homosexuelle avec laquelle elle vit. Mademoiselle Sophie voue une haine immodérée aux hommes et ne manque pas d’être plus cruelle avec moi ce qui amuse beaucoup ma Maîtresse. Mais je souffre surtout d’angoisse qu’elle décide de se débarrasser de moi, je ne pourrais pas survivre sans elle, ne pas la voir même ...