Un Maître asservi (4)
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: angenoir75, Source: Xstory
... de l’eau, provoquant des crampes sans fin. Pourtant je ne mange pas tellement et il y a bien peu à évacuer, mais c’est une habitude, une règle que je me dois de suivre. Je suis nettoyé au jet d’eau froide, assez désagréable sur la cagoule, à sécher tout seul à l’air libre, le plus souvent en grelotant. Enfin arrive ma gamelle, je meurs de faim tout le temps et je n’hésite plus à me jeter sur cette gamelle, qui est plutôt bonne. Isabelle me sert dans une grande gamelle des céréales aux fruits. Elle y ajoute des gélules de vitamine mais aussi des gélules d’hormones féminines achetés sur le Net. Elle s’est renseignée sur les doses, et échange avec un médecin soumis qui lui indique ce qu’elle doit acheter, sachant qu’elle exige un traitement qui soit le plus fort et efficace possible, sans être trop dangereux. Moi je n’en sais rien, et je suis heureux de cette pitance, même si tout est arrosé de son urine du matin. Ou parce que, ainsi je sens qu’elle est impliquée et que cela est important pour elle. Et qu’elle puisse renouveler cela chaque jour me stupéfie quand je sais comme elle déteste la répétition. J’ai le droit de boire deux fois dans la journée, un biberon qui m’est donné, toujours son urine, je n’ai rien bu d’autre. En fait si, à un moment où je pouvais l’entendre, elle m’a susurré que préparer son urine la fatiguait, qu’elle préférait pisser directement dans la bouche d’un des deux soumis qu’elle utilisait et que c’était l’urine du soumis que je buvais ! J’étais bien ...
... trop faible pour exprimer un quelconque abattement supplémentaire, mais pourtant mon esprit s’enfonça encore plus dans le noir et le néant.
Le reste de la journée était consacré à des séances, avec différents jeux dont j’ai oublié la plupart, commentées et discutées sur le blog, faisant intervenir d’autres soumis souvent. Je compris l’usage des deux fuck machines, la plus puissante pour me défoncer le cul pendant des heures avec des plugs de taille croissante (terminant avec 10 centimètres de diamètre, je pu effectivement constater que prendre le plug métallique 24/7 de la plus grande taille était non seulement possible, mais à ce stade, souhaitable). La plus petite des deux machines étaient alors positionnée face à ma cagoule, mon bâillon enlevé et j’étais entraîné pendant le même temps à des gorges profondes où je cru mourir les premières fois. Le mouvement était lent, mais très profond, près de 15 centimètres de débattement, venant remplir toute ma gorge, avant de se retirer et me permettre de respirer. Quelques jours suffirent pour que je m’habitue et que je sois capable de recevoir n’importe quelle bite au fond de la gorge.
Isabelle avait commencé par cela, et vouait, pour une raison que je n’ai jamais connue, un véritable culte à la torture de mes couilles. Qu’elles n’aient pas éclaté sous la pression des étaux qu’elle serrait de façon démesurée était surprenant, ou simplement en marchant dessus avec ses pieds chaussés ou nus. La découverte des aiguilles, puis de ...