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Initiation d'une sainte nitouche 2
Datte: 07/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Lipa94, Source: Hds
Dans les histoires de ce genre , l’héroïne découvre l’extase dans la soumission et devient l’esclave du maître dur mais juste. Mais là manque de chance, on est dans la vraie vie et de ma soumise plus de nouvelles. Personne au rendez vous du lendemain et pas de coup de fil. Ce sera un souvenir de plus, agréable souvenir d’ailleurs. Je reprend ma petite vie , mon train-train quotidien au bureau .Depuis quelque temps je flashe sur une jolie directrice financière qui s’appelle Marie Camille , va falloir que je me fasse des copains dans son service mais ils ont l’air tous un peu limite surtout un vieux mec qui s’appelle Léon (tu parles d’un prénom ! ! !). La semaine s’écoule mollement et je me prépare à passer mon week-end pluvieux entre la TV et les Chats BDSM (un jour je vous ferais un compte rendu de ce que l’on y trouve vous verrez c’est pas triste….). Pour l’instant je dors et dans mon sommeil un bruit de sonnette me taquine les oreilles , je met l’oreiller sur ma tête mais le bruit continue, ce n’est pas un rêve. Qui ose me déranger à l’aube (il n’est que 11h). Bon je sors de mon coma , récupère une robe de chambre offerte par ma maman (un truc de vieux en pilou , bleu sombre , à chier quoi ! ! !) et me dirige vers la porte en me grattant le crane ( en fait ce n’est pas le crane mais pour l’instant je passe sur les détails scabreux). J’ouvre les 42 verrous (avant moi c’était une petite mamie qui habitait là, elle regardait trop BFM) et là sous mes ...
... yeux ébahis je reconnais ma petite femme de banquier. Je resserre la ceinture de ma robe de chambre de retraité et sans un mot la fait entrer. Elle a l’air gênée , pas tant que moi parce que dans ma tenue, et encore je vous ai épargné les chaussons à l’effigie des Bidochons (cadeau de ma fille , on ne se méfie jamais assez de sa famille) l’image du Maître en prend un sérieux coup. Je la fais asseoir dans le salon et en profite pour enlever un cendrier plein et une bouteille vide. Je lui propose un café et en profite pour enfiler une tenue plus décente (descente de lit hé hé….). Quand je reviens ma femme de banquier est assise très droite les jambes serrées, je détaille la tenue de la dame et comprend vite qu’il y a un léger malaise (Pull col roulé , pantalon Karting plus chaussures plates et chignon). Nous buvons en silence le café trop fort (enfin silence c’est vite dit , je ne sais pas si ça vous arrive mais moi de temps en temps j’ai l’impression que quand je bois un truc ça fait de drôles de bruits) . On va quand même pas y passer la matinée alors je rompt le silence . - Que me vaut l’honneur de votre visite ? (visiblement c’est pas le moment d’employer un vocabulaire plus imagé). Elle continue à boire son café (ça aussi ça m’épates , il y a des gens qui arrivent à faire durer une éternité de toutes petites tasses) elle repose le récipient sur la table basse (ce qui réveille en moi un curieux souvenir (voir épisode précédent)) et enfin se décide à ...