Une nymphomane sans tabou (1)
Datte: 06/05/2021,
Catégories:
Divers,
Auteur: SweetDreams, Source: Xstory
Essoufflée, je tourne la tête vers mon réveil :
— Oh purée je suis encore à la bourre…
Je regarde le plafond et ferme les yeux, ma respiration reprend sa vitesse normale petit à petit, un dernier soupir prend l’air avant que je décide enfin de me lever. Je me redresse et sens la présence d’humidité entre mes jambes. En regardant, je constate encore une fois la présence de mouille à la fois sur mes lèvres mais aussi au niveau de l’urètre, il y en a aussi sur ma couette, partout en fait… Je mouille beaucoup, je remarque qu’il y a toujours deux sortes de liqueurs : une qui est assez liquide et transparente, et l’autre est un peu plus crémeuse et de couleur blanche. Probablement le liquide de lubrification vaginale et la glaire cervicale. Je me lève doucement et marche dénudée à travers mon appartement en direction de la salle de bain. Je nettoie mon petit godemichet avec de l’eau et du savon dans le lavabo puis en profite pour me recoiffer. Je passe une lingette nettoyante entre mes jambes et retourne au salon passer un petit coup d’éponge sur ma couette et m’habiller. Les mêmes vêtements que ce matin : un débardeur blanc caché par un pull bordeaux, une jolie veste noire et une jupe de même couleur, des collants avec rubans en velours au niveau des chevilles et des bottines très élégantes qui laissent apparaître les rubans. Une veste noire complète ma tenue, j’ajoute deux légers coups de parfum avant de quitter l’appartement.
En sortant, je croise un voisin qui vit ...
... au même étage, il rentre chez lui et porte de grands rouleaux de papiers. Il me sourit et j’en fais de même, il a l’air toujours aussi occupé avec ses maquettes. Je sors de la résidence et me dirige vers l’arrêt de tramway. j’ai de la chance, il arrive tout juste. C’est bondé mais je ne peux pas me permettre d’attendre le prochain, je suis déjà bien à la bourre. Je me retrouve collée à de grands hommes pour qui mes 167 centimètres ne signifient rien, je pianote sur mon téléphone et demande à ma pote de me garder une place dans l’amphithéâtre. Arrivée à l’université et devant l’amphi, j’entre par la porte du haut avec un petit groupe d’étudiants également en retard, je jette un œil dans cette foule en cherchant Cécile. Introuvable… ah si ! La voilà, je reconnais son pull noir à paillettes. Je descend les marches et la rejoint au milieu du rang en obligeant les gens à se lever pour me laisser passer.
— Vanessa.. un plaisir ! En retard pour changer. Dit Cécile en me regardant avec un sourire au coin des lèvres.
— Je me passerais de tes commentaires. Lui répondis-je en lui rendant le même sourire.
— Je sais pas comment tu fais pour être tout le temps en retard, t’es un phénomène ! T’habites pas loin de la fac en plus..
— Je t’avoue que je l’ignore aussi.. même quand je suis en avance je prends mon temps et au final je suis en retard..
Si elle savait… Non je ne suis pas toujours en retard parce que je me touche maaiiis… je dois avouer que ça arrive de temps en ...