1. Chapitre 4 partie 2 - Jérôme


    Datte: 06/05/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Liospuman, Source: Hds

    Chapitre 4 partie 2 - Jérôme
    
    Jérôme
    
    Dés que Barth a commencé a exposé son idée, mon esprit s'est perdu. Je vois ma mère a travers lui, son ingéniosité, sa créativité.
    
    Flash back. Nous sommes le samedi 29 août 1952 à 11h25
    
    Je suis réveillé par Yves Lounes, le chauffeur de la famille. Ses yeux son perçant et brillant. Il m'annonce qu'un incendie a ravagé la maison familiale et que tout le monde et mort. Je refuse de le croire alors il me donne un journal et je m’effondre. Je n'arrive plus à respirer, je m’étouffe, je ne vois plus claire, ma poitrine va exploser, mon cœur veut en sortir et je finis par perdre connaissance. C'est le trou noir
    
    Lorsque je me réveille, Yves m'apprend que j'ai dormi 3 jours et me confirme que je n'ai plus de famille. Je pleure toutes les larmes de mon corps et ce dernier me console. Il caresse mon dos, mais plusieurs fois, je sens sa main toucher l’arrête de mes fesses. Je ne m'en offusque pas et mets cela sur le compte de la maladresse.
    
    Le lendemain, il me convoque au salon et m'explique son plan. Il a fait changer mon nom à la banque grâce a un de ses amis qui y travailler. Je suis passé de Jérôme Luise à Jérôme Lounes qui était le nom de famille du chauffeur. Il m'a aussi procuré de nouveaux documents d'identité avec ce nom et je suis devenu ce jeune homme.
    
    Yves m'a laisser à Nice et repartie a Paris pour régler des affaires en suspend. Alors j'ai commencé à souffrir de solitude. À l'époque, j'avais à peine 18 ans et j'étais ...
    ... puceau. Mais riche, 1m80, blond aux yeux bleu, mince, mais plutôt athlétique, vue que je courrais 1 heure par jour tout les jours même en temps de plus. J'avais un sexe de taille normale dans les 16 cm en érection, mais avec un beau diamètre de 5cm. Pour rompre la solitude, je suis sortie dans un café qui fermé tard. Les gens dansés et rigoler, j'avais de l'argent sur moi alors je me suis payé quelque bière. J’essayai de regarder les filles, faire attention à leur cambrure, le tour de reins, leurs seins. Mais rien ne me distrait. C'est là qu'ils sont entrés, des jeunes de mon age en groupe. Il était tellement sûr d'eux, tellement épanoui. Il criait faisait du bruit, parler fort, buvez comme des porcs, mais rien de cela ne me gênait. Un en particulier attira mon attention. Karl, c'était un brun, les yeux caramel chocolat, un visage carré avec quelque poil, il devait avoir 20 ans, 1m80, plutôt costaud, voir un peu enrobé surtout des fesses. Cependant, il avait un humour fou, il faisait rire tous ses copains et n'avait l'air d'avoir aucune limite. Il crie, raconté des blagues et danser. Il a pris une fille dans ses bras et l'a fait tourner autour de lui. Il dansé comme au théâtre, ce garçon était un paradoxe. C'est en le voyant que j'ai su que j'étais homosexuel et que jamais je ne changerais. Il dansait dans un rythme endiablé jusqu’à ce que nos regards se croise. C'est là qu'ils sont entrés, des jeunes de mon âge en groupe. Il venu jusqu’à moi en libérant sa cavalière. Il m'a ...
«1234...»