1. L'université : de la soumission à la consécration (4)


    Datte: 06/05/2021, Catégories: Trash, Auteur: donico, Source: Xstory

    ... sacrifice ». Je m’approche doucement, pose mes mains sur ses cuisses tant désirées (mon Dieu qu’elles sont douces !) et commence à faire descendre son string.
    
    Mes yeux sont aussitôt attirés par sa magnifique vulve, toute épilée. Il ne s’agit après tout que du troisième sexe féminin que je vois dans ma vie, et qui plus est celui de ma sœur ! Je n’ai encore rien fait, mais ma gaule est colossale. Qu’est-ce que je ne donnerais pas pour la baiser !!
    
    Mais je ne peux pas, et je me décide donc à accepter mon sort avec humilité. Je caresse un peu ses cuisses de mes mains, puis je remonte doucement sur son ventre. Pendant ce temps, ma bouche l’embrasse tendrement sur le pourtour de son sexe, sans encore l’atteindre. J’aime la faire attendre...
    
    Ce qui m’occupe l’esprit, sur le moment, je dois avouer que ce sont surtout mes mains. Ces deux petites coquines qui s’approchent doucement mais sûrement de ce qui me fait le plus fantasmer chez ma sœur : sa poitrine ! Mais alors qu’elles sont presque arrivées sur place, et que mon sexe est sur le point de faire exploser mon caleçon qui peine à le contenir, ma sœur les repousse.
    
    — Pas de ça ! Dit-elle. Lèche-moi seulement.
    
    — Mais c’est meilleur avec un malaxage en même temps...
    
    — Bien essayé, mais je sais très bien que tu fantasmes sur ma poitrine, alors je la garde en réserve. Et j’ai ordonné à Léna de faire pareil !
    
    Je maudis ma sœur. La garce ! Elle a très vite vu comment trouver la corde sensible : je n’ai connu que ...
    ... la poitrine de Camille, qui n’est pas très grosse, et je rêve tellement d’en toucher de plus dodues...
    
    Elle ne me laisse pas plus réfléchir et me pose une main sur l’arrière du crâne pour me forcer à la lécher. Je m’approche donc de son sexe, contraint et forcé, et je commence à l’embrasser doucement. Il est doux, légèrement ouvert déjà, et la simple pensée qu’il appartient à ma sœur m’excite à me rendre fou.
    
    — Huuummm... soupire déjà Anna. Tu aimes lécher ta grande sœur, hein ??
    
    Elle me devine décidément très bien ! Comme une approbation silencieuse, je m’empare de son clitoris avec mes lèvres et le suçote quelques secondes. Elle ne peut se retenir de gémir. Ma langue s’active avec tendresse sur ses lèvres, que je pince de temps à autre avec les miennes, puis elle se glisse à l’intérieur. J’aime beaucoup lécher sa fente, mais comme la plupart des femmes, Anna préfère quand je m’attarde sur son clitoris, ce que ses gémissements indiquent assez clairement.
    
    Je m’exécute donc et joue le jeu de la soumission : son plaisir est mon seul but, car il est ce qui me rapproche le plus de la libération. Plus je serais soumis, plus vite ira mon intégration. Et plus vite je pourrais baiser Léna...
    
    Le vagin de ma sœur commence à s’humidifier de plus en plus nettement, jusqu’à devenir complètement gorgé de mouille. Enhardi, je caresse sa petite chatte désormais béante de mon index, puis je lui insère doucement à l’intérieur. Elle gémit de nouveau de plaisir.
    
    — Mets-moi en ...
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