Ma nana la pute
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Première fois
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
Je vivais avec Maryline depuis trois mois lorsqu’elle m’a parlé de son principal fantasme. Elle avait envie de s’habiller en pute et que je m’arrête à sa hauteur en voiture, dans une rue, pour lui demander combien elle prenait. Cette idée m’excitait terriblement, d’autant que Maryline possédait toutes les fringues qu’il fallait pour se livrer à ce jeu : des jupes très courtes, des bas, des bottes à talons, des sous-vêtements transparents, des corsets et de très fines chemisettes qui moulaient son corps.
Nous baisions très souvent en parlant, en s’imaginant ce genre de scène, et d’autres encore, mais celle-ci revenait souvent dans la bouche de Maryline. Alors, un soir, on s’est décidé à le faire pour de vrai. On a bu quelques verres pour se défaire du stress de passer à l’action, puis Maryline est allée dans la chambre pour choisir sa tenue.
Elle était presque aussi grande que moi et très mince. Brune à cheveux longs et lisses. La peau dorée et d’adorables petits seins pointus. Elle avait 26 ans. Et ce soir-là, quand elle sortit de la chambre, elle portait une chemisette noire très serrée, décolletée, les seins nus dessous. Une mini-jupe noire en sky, des bas noirs dont on voyait les élastiques, des bottes noires en daim à talons. Une vraie pute de trottoir.
En la voyant comme ça, je me suis mis à bander.
La nuit tombait. On est sorti discrètement de l’immeuble et on a pris la voiture. Nous avions décidé de la rue dans laquelle je déposerais Maryline. Elle n’était ...
... pas trop fréquentée. Sur le trajet, nous n’avons pas beaucoup parlé. Maryline avait un petit sourire aux lèvres et j’étais impatient qu’elle descende de la voiture, pour faire ensuite le tour du pâté de maisons.
Au moment venu, il y avait peu de passants dans la rue. Trois ou quatre silhouettes et deux ou trois enseignes allumées. Maryline est descendue et je l’ai regardée dans mon rétroviseur en m’éloignant.
Au bout de la rue, j’ai patienté à un stop et j’ai pris à droite. Mon cœur battait très rapidement. Je me suis tapé un feu rouge, interminable, puis j’ai pris de nouveau à droite. Une bande d’adolescents a traversé sur un passage piéton et j’ai tourné dans la rue. Maryline se tenait juste au bord du trottoir, avec son petit sac à main rouge vif. J’ai ralenti et j’ai baissé la vitre du côté passager.
« Bonsoir poupée. Combien tu prends ? »
Elle s’est penchée à hauteur de la vitre et m’a dit :
« 40 la pipe, 80 l’amour. Tu veux ? »
« Tu te mets toute nue pour 80 ? »
« Non bébé, à poil c’est 120. »
J’ai fait semblant de réfléchir en regardant la rue dans mon pare-brise. Je bandais à mort. Je me demande si j’avais déjà bandé autant auparavant. Puis je suis revenu à la pute qui patientait. Son décolleté révélait la naissance de ses nichons. Il en fallait peu pour que le téton gauche dépasse.
« Ça marche pour 120. Monte. »
Elle a ouvert la portière et s’est installée. J’ai quitté la rue et pris la direction des quais. C’était à trois minutes de là ...