Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (22) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (22)

... tête sur mon épaule et continue son déhanchement en frottant son cul rond et plein sur mon sexe. Son regard vert (une Kabyle, sûrement) me demande de la prendre sans attendre.

— Il parait que vous êtes très sévère...

— Il parait... Maître Jean.

— Aïcha, pour vous servir.

Il ne lui reste plus qu’un string blanc que j’arrache violemment.

— Hummm, j’aime...

— Ta gueule, tu ne parles que si je t’y autorise. Compris.

Je la retourne et la fait pose en appuis sur le comptoir. Elle se cambre, la salope. Son petit œillet palpite. Je le lui prends et ça rentre sans forcer. Je ne peux entendre les sons qui sortent de sa bouche, mais je peux la voir dans le grand miroir du bar. Elle est en extase. Je lui laboure le fion comme un salop. Elle aime ça, c’est sûr, puisqu’elle me sourit en me fixant dans le reflet de la glace. Je la ramone pendant de longues minutes (merci à celui qui a inventé le VIAGRA). Mes couilles viennent heurter sa chatte. Elles sont détrempées. Dans un spasme violent autour de ma queue, elle se contracte. C’en est trop et j’éjacule longuement au fond de ses boyaux. Mélissa, qui nous regardait baiser, s’agenouille derrière moi et attend sa pitance qu’elle va ensuite partager avec sa copine. Je suis fière de ma grosse black, elle m’étonne de jour en jour.

Pierrot, le gros bourrin, arrive l’étendard dressé, prend la petite Aïcha. Surprise par cet assaut, elle couine, mais se laisse faire. Pierrot me demande si tout se passe comme prévu. Gégé ...

... réapparaît de derrière le comptoir ainsi que Bob. Ils ont partagé son nectar. Je leur souris.

— SEBASTINE ! QUAND TU AURAS FINI AVEC TA SŒUR, TU POURRAS NOUS RESSERVIR ?

C’est Julie qui vient nous servir en s’excusant. Je lui dis qu’il faut qu’elle garde un œil sur les clients et leur verre. Je veux bien qu’elles se tripotent et s’embrassent, mais il faut rester vigilant. Les esprits malsains peuvent être partout. Elle repart penaude et glisse un mot à sa sœur en lui palpant les seins. Deux belles gouines et qui plus est, en famille. Je me demande si leur parent les ont éduquées de la sorte.

Après que Monsieur le maire, Gilles ou Gilou, m’ait demandé de visiter les salles et après avoir découvert Louis, son fils, attaché avec Cendrine se faire cravacher par sa belle-fille, Sandra, dans la dernière salle, je décide d’aller voir Li en laissant Gilou admirer la scène qui se déroule derrière les miroirs sans tain.

Li est occupée, non pas à sucer ni à se faire sauter, mais à renseigner les deux cop’s de Mélissa sur les tarifs et les abonnements du Club. Elle est concentrée sur son rôle et ne relève même pas la tête. Brave petite Thaï. Mélissa arrive derrière moi et m’enlace en me couvrant le dos de bisous. Cela me fait frissonner, et ma peau se hérisse. J’ai la chair de poule.

— Tu as froid amour ou c’est moi qui te fais de l’effet ?

— J’ai chaud et à chaque fois que tu me câlines ainsi, je ne peux me retenir de vibrer pour toi et bander.

Je me retourne et on ...