« Moi, Julien… » SAISON 2 EPISODE 1 : Paris s’éveille
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Castor99, Source: Hds
... ascenseur qui montait jusqu’au 5ème, tout juste refait entièrement avec un beau parquet ancien, lumineux, meublé avec gout, pas loin de 25 m2 et plutôt bien organisé avec un coin pour la partie nuit, un autre pour la cuisine ouverte équipée et une salle de bain avec douche à l’italienne. La visite avait été l’occasion de se frôler plusieurs fois dans cet espace réduit sans que l’un ou l’autre ne ressente une gêne comme on peut le ressentir quand quelqu’un rentre dans son espace vital.
Le propriétaire accepterait un loyer de 750 € CC si le locataire présentait toutes les garanties nécessaires. J’avais dit banco en prenant tout de même quelques photos pour les envoyer à ma femme, histoire d’obtenir son accord formel. Nous étions repassés à l’agence faire des premiers papiers.
On avait terminé alors qu’il était à peine 16H. Simon avait prétexté que cela ne lui servait à rien de rester ouvert et m’avait proposé avec un naturel désarmant d’aller boire un verre pour fêter cela. On s’était retrouvé dans l’un des rares rooftop parisiens de la rive gauche à côté du métro Vaugirard. Le soleil était encore haut et tapait fort. A force de cocktails, les langues s’étaient déliées. Cela avait été l’occasion d’expliquer à Simon le contexte de la séparation, de ma nouvelle vie, de ma liberté retrouvée. Je me sentais bien avec lui et surtout en confiance...
Me sachant seul cette semaine, il m’avait proposé d’aller diner dans un restaurant mais avant il voulait passer chez lui se ...
... rafraichir. Il me dit « accompagne-moi ». Je l’avais suivi docilement sans me poser de question. Son appartement était situé Boulevard Raspail. Depuis le 9ème étage la vue était incroyable, du Sacré Cœur au dôme du Panthéon. Un deux pièces bien agencé et meublé design. Il était parti vers la salle de bain tout en enlevant sa chemise et en me disant de me servir dans le frigo si j’avais soif. J’étais debout devant la fenêtre à admirer la vue lorsqu’il était réapparu 15 minutes plus tard, habillé uniquement d’un slip Calvin Klein blanc, le corps encore humide. Damn qu’il était sexy.
En me souriant, il s’était collé contre moi en toute simplicité, comme si nous étions amants depuis des années. Tout était simple avec lui. Il m’a embrassé divinement bien. Ses mains n’étaient pas en reste, déboutonnant ma chemise, passant et repassant sur ma peau, se frayant un passage entre nous deux pour caresser la bosse qui déformait outrageusement mon jean, dézippant ce dernier pour caresser ma queue à travers le dernier rempart de tissu de mon sous-vêtement. Je tentais de suivre son rythme infernal en découvrant la douceur de sa peau et de ses fesses parfaites. Puis je finis par renoncer quand il s’agenouilla devant moi pour abaisser mon boxer noir. Ma bite jaillit d’un seul coup comme un diable de sa boite. J’avais tout de suite su que je n’allais pas tenir longtemps lorsque sa bouche pris possession de ma tige. Une bouche de velours, suave et humide comme j’en avais rarement connu. Je le ...