Révélation
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fhh,
couplus,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
couple+h,
Auteur: Loïc, Source: Revebebe
Lecteur fidèle de votre site, je ne pensais pas vivre un jour une aventure qui pourrait être publiée. Je m’appelle Loïc, j’ai 45 ans et ma femme Sandrine, 38. Un couple "normal" sans être spécialement canon, mais on nous dit plutôt agréables. Après 15 ans de vie commune, notre sexualité est devenue routinière. Trop à mon goût. J’ai bien essayé de pousser Sandrine vers plus de jeux, sans grand succès. Si elle accepte de temps en temps de se plier à mes désirs - utilisation de gadgets ou photos coquines, c’est toujours sans grande conviction. Lorsque je tente de l’emmener vers des discussions sur l’évolution notre relation vis-à-vis du sexe, elle se dit toujours satisfaite. Je lui ai fait part de certains de mes phantasmes comme l’exhib’ ou des soirées coquines avec d’autres personnes. J’ai toujours eu des réponses négatives me disant que cela ne l’intéressait pas. Quand je la questionne sur ses propres phantasmes elle me répond qu’elle n’en a pas spécialement. Les seuls moments où elle se lâche un peu plus, c’est quand elle a bu. C’est sûrement un peu à cause de ça qu’est arrivée l’histoire que je vous raconte aujourd’hui.
Nous avions convenu avec un couple d’amis, Chantal et Alain, de passer la soirée de samedi ensemble. Le restaurant prévu n’avait de table disponible que vers 21h30, nous avons décidé de nous retrouver à la maison pour l’apéritif. Après deux ou trois verres bien servis, nous sommes partis dîner. Ambiance sympa et encore quelques verres de vin et digestif. ...
... J’ai remarqué que Sandrine avait le verbe plus haut que d’habitude et les yeux pétillants. J’ai vite compris que l’alcool commençait à faire son effet. Je lui en ai fait la remarque et à mon grand étonnement elle m’a répondu devant tout le monde :
— Te plains pas, tu sais bien que ça me rends amoureuse et que tu vas en profiter quand on rentrera.
Je suis resté scotché de l’entendre parler comme ça devant des amis. Elle a d’ailleurs eu droit à quelques réflexions graveleuses de la part d’Alain, qui loin de la gêner l’ont encore rendue plus crue dans ces propos. Je commençais à envisager la fin de soirée sous les meilleurs auspices.
Au moment de repartir, Chantal demanda à Alain de la déposer avant de nous raccompagner, car elle travaillait le lendemain. Nous sommes donc montés à l’arrière et Sandrine s’est faite très câline, ce qui n’est pas dans ses habitudes en public. Après avoir laissé Chantal chez elle, au lieu de prendre la place devant, par jeu je dis à Alain :
— Chauffeur à la maison.
Là-dessus il me répond :
— D’accord, mais ne faites pas de cochonneries derrière.
Du tac au tac Sandrine lui répond :
— On fait ce que l’on veut et toi regarde la route.
Aussitôt elle se colle à moi et me roule une pelle mémorable. Sa main part vers ma braguette et elle me chauffe en me fixant dans les yeux. Je lui glisse à l’oreille que notre "chauffeur" nous voit dans le rétro. Elle me répond :
— Je m’en fous.
La prenant au mot, et pour la calmer, je la ...